On vous demande de sauver l'amitié d'une réduction à la camaraderie, à l'intérêt.
Vous avez donc à faire dialoguer pour former dans une troisième partie l'idée d'amitié ce qui, évidemment, sera difficile puisque ce n'est pas un concept mais une idée.
Tout va dépendre peut-être du sens que vous donnerez au terme besoin:
ce peut être, à l'opposé du désir, un intérêt de la nature, des appétits par exemple avec pour fin le plaisir.
C'est la nécessité au sens de ce dont on ne peut pas se passer parce qu'on est tendu vers, par exemple une certaine conception de l'amitié amoureuse par andré Gide.
pour sauver l'amitié cde cette faillite réductrice et en même temps sauver la signification du sujet, vous pouvez prendre au besoin comme aspiration non pas d'une nature mais d'une existence qui est désir.
Alors effectivement comme l'homme est un noeud de relations, lamitié comme relation prend sa force de la qualité de la relation.
Le mystère demeure de ce qui fonde cette relation:
mystère car chacun est engagé dans le problème de l'amitié. On peut alors penser que le fondement de lamitié nous donnerait la clé de son intensité, jusqu'à l'amitié parfaite.
Dans ce cas il faudrait relire et utiliser la page sur le fondement de l'amitié sans pour cela perdre de vue la formulation intégrale du sujet.
Il me semble que vous avez dans une 1ère partie à montrer que la forumule semble intenable à la conscience immédiate, à l'opinion en soulignant quelle part de vérité a cette opinion.
Vous pourriez dans une 2ème partie, par un effort de la conscience réfléchie détruire la thèse de la 1ère partie.
Resterait à dégager la véritable signification de l'affirmation proposée ...
== http://www.philagora.eu/educatif/ind..._prepas/Amitie le fondement de l'amitié surtout.
Pour ce qui est des références aux auteurs et aux 2 oeuvres, je ne le répèterais jamais assez, les prépas doivent chaque fois les relire à la lumière de la citation ou du sujet proposé.
Personne ne peut faire ce travail à leur place.
http://www.philagora.net/copyright.php
Joseph.
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir