Dans l’aride revit le glapis
Rallume les fades cierges perdus
A genoux, sur le parvis il compte les plis
De ses mains irraisonnablement tenues
Allume les catacombes
D’un feu déchaîné, et les cernes et les dépies
Il pleut toujours sur l’orge moribonde
Pour qu’avec droit le linceul de la pluie
De sa chaire carbonisée, de ses cernes
Il fasse de l’ombre sans lassitude
Aux statues prudes
Car ce fourmillement jouissif de sa plate
VENGEANCE
Coupe ce qui le pousse à croître
Liquéfie l’insoumis