Sur les rivages désolés
Règne un soleil glacé
Où le regard sec et froid
Est un rayon d’infortune
Et le silence brûle
Sous le vent de mes nuits
Dans ton indiférence totale
Ma peau crève aride
Les fissures sont si vides
De tes fontaines d'amour
Ton sourire ensoleillé me
Manque..
Et la douleur creuse
Un tunnel de desespoir
Mon coeur pret a exploser
Comme un vieux puit
Martyrisé...
Laissant toutes mes richesses
Brûler sous tes cruels feux
Je sens en moi des rides
Qui m'empeche d'enterrer
Ce spleen...
Tes rayons de sables
Peignent un rire démoniaque
Sur ma peau craquelée
Qui ne sait plus la saveur de l'eau
De tes yeux...
....
Dernière modification par Chopinskaya 17/02/2003 à 15h36