Comme un sous marin à la dérive,
Je divague et je me prive,
Je supplis et je suffoque,
Je me moque et je pris,
Mes semblables les astres,
Pour qu'il me sortent de se désastre,
En me tendant de manière fraternelle
Leurs douces mains charnels,

Mais capitaine je ne peux plus rêver,
Non Némo, je ne peux plus espérer,
En effet, en ommétant le respect,
Mes semblables les astres,
Regardent leur reflets,
Seulement pour se parraître,
Dans le miroir de que son mes yeux,
Encore plus impèrieux,

Mais peut-être moi aussi, vais je rencontrer,
D'autres délaissés;
Qui comme moi en on assez,
De ce monde de dégénérés,
Fait de créature enmitouflés,
Dans le labyrynthe de la vie,
Fait de monstres aveuglés
Par la clarté trop lumineuse de leur esprit,

En s'octroyant, notre guide la raison,
A la manière dyonisiaque d'Appolon,
Oui, je le hurle, les hommes mes émules,
En perde leur humanité, au profit de la bestialité,
Et muent tous en minotaure,
Hormis quelques érudits, qui restent des toréadors,

Les hommes ont pour ultimes sentiments l'animosité
Dévoré par leur instinct de centaure, il doivent être chassés,
O! Thésée reviens sur Terre me sauver,
De ses prédateurs assoiffées,
Demande à ton père de lever les océans
Demande à Zeus de foudroyer les vivants
Permet aux hommes de franchir l'Achéron
En leur donnant la barque de Charon

Comme un radeau à la dérive,
Imbibé de rancoeurs,
Qui part et qui s'égare,
Je souhaite me fracasser
Contre un rocher acérer
En ayant pour dernier désir
Le seul espoir que mon coeur éclate et se déchire,
Sous l'impact du choc et de la roche
Afin de submerger sans anicroche,
Le monde des sans coeurs, ce monde de sans moeurs.

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