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Discussion: Feuerbach, l'essence du christianisme

  1. #1
    Date d'inscription
    April 2008
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    Par défaut Feuerbach, l'essence du christianisme

    Bonjour à tous,

    Je dois faire le commentaire d'un extrait de l'essence du christianisme par Ludwig Feuerbach.
    Je me suis renseigné sur l'auteur et sur ses thèses dont j'ai extrait quelques idées que j'ai "rephrasées". Je n'en parlerai pas pour l'instant.
    Aussi, j'ai réfléchi à certains termes présents dans le texte (que l'on peut regrouper et opposer comme suit) : Dieu/homme/nature ; pain-vin/eau ; acte religieux.

    Cependant, je n'arrive pas à dégager le problème soulevé par ce texte, et suis incapable de trouver la thèse illustrée, je l'imagine, par l'exemple de la faim (sacrifice ?).

    Si quelqu'un pouvait éclairer la lanterne du pauvre Cicéron moderne que je suis, ce serait sympathique !

    Merci, et voici le texte, en image :


  2. #2
    Date d'inscription
    April 2008
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    3

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    Je précise que je suis en terminale S SVT.

  3. #3
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    April 2001
    Localisation
    France -
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    21 954

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    Dire que Dieu a des projets, se venge, regrette, passe une alliance, c'est tout simplement mettre en Dieu des passions et des conduites humaines, ce qui est contradictoire avec la perfection qu'on lui attribue; Dire que Dieu est amour, lumière, c'est étendre par l'imagination ce germe de savoir et de pouvoir que l'homme refuse en lui, par paresse. La religion semble donc le produit d'un refus de ce qui fait l'homme (savoir et pouvoir en germe): une sorte de dépit amène l'homme à s'aliéner, à mettre en Dieu les instruments de sa libération, à y renoncer!
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  4. #4
    Date d'inscription
    April 2008
    Messages
    3

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    Euh, oui. J'avais lu ça sur un site. Mais je ne vois pas ceci dans cet extrait. L'aliénation dont parle Ludwig dans cet extrait ne semble pas reliée à Dieu, et c'est ça qui me gène.

    Je ne vois pas le rapport entre l'exemple et la religion, et cette phrase assez énigmatique : "C'est ainsi qu'il suffit d'interrompre le cours ordinaire des choses pour trouver une valeur immense dans ce qui est commun, pour attribuer une signification religieuse à la vie en générale."
    Avec l'exemple de la faim, on comprend très bien que lorsqu'on se prive de nourriture, le pain et le vin (ordinaires) paraissent avoir "une valeur immense", mais où se trouve la religion là-dedans ?

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