Posté par
mouette
Dinstingue à peine où le vent te mène
on ne sait pas souvent ce que l'on sème
on ne sait pas souvent combien l'on aime
rien ne nous prépare à marcher dans le sens de la terre.
Seules la quiétude ou la violence nous portent
nous ne savons jamais quand ouvrir ou fermer nos portes
nos murs intérieurs que la quiétude absout
se fendent et demeurent dans la violence douce de la mort.
Toutes ces amours qui vont et qui viennent
laissent dans nos veines
un peu de sang noir
et la sève amère des nuits de cafard.