La connaissance de l'autre est-elle utile à la paix?"
Pour la problématique:
vous devez vous étonner du sujet, éprouver un embarras qui a souvent pour origine un choc entre deux termes.
Par exemple, ici, la connaissance une fois réalisée c'est un savoir, un pouvoir, une capacité de prévoir. On voit mal comment la connaissance de l'autre pourrait orienter uniquement vers la paix et pas vers la guerre: en effet prévoir ce que va faire l'adversaire c'est un des éléments de l'art de la guerre.
Cela devrait vous orienter vers un problème, la question fondamentale dont la solution permettrait de répondre au sujet dans la troisième partie du devoir, après avoir pensé, peser le pour et le contre, vous pourrez décider en toute justice, c'est à dire de manière bien ajustée.
Le problème n'est-il pas: comment la connaissance peut elle être du même coup reconnaissance de l'autre? Ne faut-il pas intuitionner l'autre comme un semblable, méritant le respect que nous exigeons pour nous? Vous voilà bien orienté.
Analyser le projet Erasmus et ses retombées pour la paix en Europe. (Il s'agissait de permettre à de nombreux étudiants de faire une partie de leurs études dans un autre pays d'Europe que le leur.) ce qui vous amène à la question du rapport entre les échanges et la paix.
Cordialement.
Joseph llapasset
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Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir