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Discussion: Des nouvelles de mars

  1. #1
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    Par défaut Des nouvelles de mars

    à Robinson

    Niel

    Niel va partir sur la lune
    Il prépare sa fusée
    Et il rassemble une à une
    Les choses qu'il doit emporter
    Une lettre un drapeau la photo de son fils Julien
    Il a dit à sa femme je ne sais pas quand je reviens

    Il a déjà le mal du pays
    Le mal des amis
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a quitté sa maison
    Pour la base de lancement
    Il met sa combinaison
    Son casque transparent
    Dans sa bulle déjà loin de toute cette agitation
    Il n'entend que son coeur le bruit de sa respiration

    Il a déjà le mal du pays
    Le mal des amis
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a couru sur la lune
    Au bord des p'tits volcans
    Aussi léger qu'une plume
    Qu'un oiseau dans le vent
    En s'penchant il a vu bleue et verte dans l'univers
    Une planète c'est chez lui c'est vraiment le monde à l'envers

    Il resterait bien toute la vie
    A voler dans la nuit
    Mais tant pis
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune
    Ça ne compte pas pour des prunes
    De marcher sur la lune

    Niel a marché sur la lune


    Paroles et musique : Fabienne Robert

  2. #2
    baruchette Guest

    Par défaut

    j'ai connu
    un Autre
    Julien..

  3. #3
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    Par défaut Les choses de la vie

    Ne me demande rien
    (Pascal Baehrel/Laurent Manganas)

    Ne me demande rien
    De plus rien de moins,
    Mon amour
    Ne me demande rien
    D’autre que ma main,
    Chaque jour
    Au-delà des tourmentes
    Et des fleurs qui fanent
    Alentour
    Il n’y a rien qui me tente
    Plus que nos matins
    A ce jour

    On est heureux, c’est presque rien
    Il suffisait de le vouloir
    On est heureux mais ne dis rien
    On pourrait s’en apercevoir

    Si la vie ne vaut rien
    De plus rien de moins
    Mon amour
    Je ne demande rien de plus
    Que le tien
    A ce jour
    Au-delà des offenses
    Et des nuits qui tombent
    En plein jour
    Quelque soit notre avance
    On est loin du compte
    A rebours

    On est heureux, c’est presque rien
    Il suffisait de le vouloir
    On est heureux mais ne dis rien
    On pourrait s’en apercevoir


    Dorval
    (Les choses de la vie)

  4. #4
    baruchette Guest

    Par défaut

    Se le dire, se l'écrire
    Le crier
    Sur les toits

    Le bonheur
    n'entend pas

  5. #5
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    Par défaut Je veux te voir..., un jour !

    ***171; Un cheval invisible galope dans le gris de l'aube. C'est le c***339;ur battant, c'est le c***339;ur emball***233; de l'enfant inconnu qui arrive sur moi ***224; cette vitesse de cavalier fou. D'o***249; vient-il ? Enregistr***233; par des palpeurs dispos***233;s sur le ventre de celle qui accouche, ce c***339;ur cogne et rebondit entre les parois de la salle de travail. L'enfant arrive. Je ne vois toujours rien. Ma femme subit depuis le matin une alternance de douleurs et de r***233;pits. Je suis tendu, attentif, mais je ne distingue toujours rien. ***187;

    Pierre P***233;ju - Naissances.
    Dernière modification par Un autre Julien 30/01/2006 à 00h25

  6. #6
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    Par défaut Corps & ârmes

    San Antonio de la Luna

    Toutes les vérités seront bonnes à entendre et seront bonnes à dire
    Je ne crains pas le mal et me méfie du bien, les normes sont bien pires
    Apaisés, les démons qui menacent, mon reflet dans la glace, fusionnel face à face
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    180 degrés d’immense liberté, de chaleur m’envahissent
    Retrouver comme un frère, celui que je suis vraiment et sa rage de vivre
    L’inconscient peu à peu se déleste des souvenirs épars, dispersés au hasard
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    Un sentiment d’éternité, je découvre l’été sans fin

    Ce soir, la lune est pleine et la mer est argent, l’instant est symbolique
    Pour qu’une collision épidermique ait lieu, somptueuse et limpide
    Je suis prêt, je me sens fort et libre, tu donnes et je reçois, mes ailes se déploient
    Je découvre l’été, l’été sans fin

    Pour l’éternité, avec toi, l’été sans fin


    Etienne Daho

  7. #7
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    Par défaut Sleeping with ghosts

    « Protège-moi »

    C’est le malaise du moment
    L’épidémie qui s’étend
    La fête est finie, on descend
    Les pensées qui glacent la raison
    Paupières baissées, visages gris
    Surgissent les fantômes de notre lit
    En ouvrant le loquet de la grille
    Du taudis qu’on appelle maison

    Protect me from what I want
    Protect me from what I want
    Protect me from what I want…

    Sommes-nous les jouets du destin
    Souviens-toi des moments divins
    Planants, éclatés, au matin
    Et maintenant nous sommes tout seuls
    Perdus les rêves de s’aimer
    Le temps où on avait rien fait
    Ils nous restent une vie pour pleurer
    Et maintenant nous sommes tout seuls

    Protect me from what I want
    Protect me from what I want
    Protect me from what I want…


    Brian Molko, Stefan Olsdal et Steve Hewitt
    Adaptation française : Virginie Despentes

  8. #8
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    Par défaut Celui qui chante

    « Pour me comprendre »


    Pour me comprendre,
    Il faudrait savoir qui je suis.
    Pour me comprendre,
    Il faudrait connaître ma vie
    Et pour l'apprendre
    Devenir mon ami.
    Pour me comprendre,
    Il aurait fallu au moins ce soir
    Pouvoir surprendre le chemin d'un de mes regards
    Triste mais tendre, perdu dans le hasard.

    Je l'ai connue toute petite
    Dans les bras de sa grande maman.
    Dommage, dommage.
    J'aimais tellement son visage.

    Pour me comprendre
    Il faudrait savoir le décors
    De mon enfance,
    Le souffle de mon frère qui dort,
    La résonance de mes premiers accords.
    Pour me comprendre
    Il faudrait connaître mes nuits.
    Mes rêves d'amour.
    Et puis mes longues insomnies.
    Quand vient le jour,
    La peur d'affronter la vie.

    Il y a peut être quelque part
    Un bonheur dont j'aurai eu ma part.
    Dommage, dommage.
    J'aimais tant certains paysages.

    Pour me comprendre
    Il faudrait la connaître mieux
    Que je ne pourrai.
    Il faudrait l'aimer plus que moi
    Et je vous dirai
    Que je n'y crois vraiment pas.
    Pour me comprendre
    Il faudrait avoir rencontré
    L'amour le vrai.
    Vous comprenez le grand amour.
    Et savoir qu'après
    A quoi sert de vivre encore un jour.


    Paroles et musique : Michel Berger.

  9. #9
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    Par défaut Grégory L.

    S.O.S d’un terrien en détresse


    Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
    Pourquoi je ris, pourquoi je pleure
    Voici le S.O.S
    D'un terrien en détresse
    J'ai jamais eu les pieds sur Terre
    J'aim'rais mieux être un oiseau
    J'suis mal dans ma peau

    J'voudrais voir le monde à l'envers
    Si jamais c'était plus beau
    Plus beau vu d'en haut
    D'en haut
    J'ai toujours confondu la vie
    Avec les bandes dessinées
    J'ai comme des envies de métamorphose
    Je sens quelque chose
    Qui m'attire
    Qui m'attire
    Qui m'attire vers le haut

    Au grand loto de l'univers
    J'ai pas tiré l'bon numéro
    J'suis mal dans ma peau
    J'ai pas envie d'être un robot
    Métro boulot dodo

    Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
    Pourquoi je crie, pourquoi je pleure
    Je crois capter des ondes
    Venues d'un autre monde
    J'ai jamais eu les pieds sur Terre
    J'aim'rais mieux être un oiseau
    J'suis mal dans ma peau

    J'voudrais voir le monde à l'envers
    J'aim'rais mieux être un oiseau
    Dodo l'enfant do



    Réalisation : Michel Berger et Luc Plamondon
    Musique de Michel Berger / Texte de Luc Plamondon

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