+ Répondre à la discussion
Page 2 sur 2
PremièrePremière 1 2
Affichage des résultats 11 à 19 sur 19

Discussion: Le pouvoir est-il corrupteur?

  1. #11
    Estelle br Guest

    Par défaut

    Que voudrait dire cette histoire mythologique? Que Zeus, "roi" des dieux grecques, se serait fait berner lui même par l'image de la nature? Du haut de ces cieux, il a cru voir un arbre mort à la place d'un mirage? Cela me fait penser à la caverne de Platon, mais en sens inverse.

    Un pouvoir corrompt à mon sens lorsque une personne impose à une autre son expérience de la vie. Par contre, ceci est possible seulement dans la mesure où l'autre est en position de faiblesse; c'est ce que j'appelerai grossièrement "l'influence" ou la "manipulation".
    Le problème qui se pose ici pour moi est que cette corruption est possible dans la mesure où l'autre, celui qui se rend "esclave", est ignorant.

    Je prends exemple ici sur l'éducation d'un parent à son enfant. On dit souvent que le parent est l'exemple, le "dieu" de l'enfant: son modèle. Or, un parent jugeant la vie de telle façon peut empêcher l'enfant de vivre ses expériences, et par la même de se découvrir lui-même. Peut-être que cet être en voie de devenir répètera ds schémas appris depuis longtemps s'il n'a pas déjoué le "joug" parental.

    Après cette sorte de corruption peut s'étendre à l'éducation au sens large: Certes imposer un cadre est nécessaire, sûrement, mais comment ? Et dans quel but ? Le cadre imposé est-il en accord avec l'enfant ? L'enfant est-il à même de prendre des décisions ?

    Je dirai que la corruption n'existe plus lorsque l'individu est à même de suivre une direction proposée par x personnes en "âme et conscience". Ici seulement je peux dire que je fais le choix qui me correspond en tant qu'être responsable et autonome .

    En fait, voilà ma transition difficile: La vie nous propose tout: Du passage de l'innocence à la conscience "universelle", de la vie familiale à la vie en générale. Quels choix faire ? Vais-je suivre la fil éducatif de mes parents, sans même m'en rendre compte? et "rentrer dans un moule" ?
    J'imagine cette situation comme une espèce de "chemin tracé d'avance": j'agis selon un "mécanisme". Est-ce que les choix que je vais faire seront "les miens" ?

    Finalement, je parle ici du conditionnement, suis-je bête, c'est un si simple mot. Puis-je dire que la conditionnement est une forme de manipulation? . Peut-être pour celui qui "ignore". Mais ignore quoi au juste? Qu'il est conditionné? Comment pourrait-il le savoir ?
    Ce n'est bien sûr pas à prendre au pied de la lettre, mais je m'aperçois pour ma part que les "scénarios" çà dure çà dure ... et parfois , ils ressemblent étrangement à ceux de nos parents !

    " Eduque toi toi même et tu deviendras dieu "

    Ca me fait penser à un truc que j'avais lu sur les indiens : un individu "indien" se nommait lui-même d'un nom différent lorsuq'il jugeait qu'il avait passé un "cycle". Il se fout lui même dans son moule finalement. Ce nouveau nom vient d'une prise de conscience.

    Ben ouais, ayez la conscience ouverte et vous n'aurez même plus besoin de philagora ou d'un prêtre pour vous enseigner la vie

    Bon je m'étends et je baille. Je dirai finalement que "donner des ordres" est imbécile, que nous devrions juste "proposer", l'autre agit librement.
    Ce qui me fourdroie, c'est de voir qu'aujourd'hui, avec le smoyens qu'on a et qu'on détruit ... les "pouvoirs " qui régentent nos vies sociales sont incompétents . Le sujet prenait exemple du juge, je prends l'exemple des médecins. Et de la médecine en générale même !
    Un médecin prendra je le garantis un mauvais choix en faisant hospitaliser une personne qui a la base souffre d'un trauma affectif . Que va faire ce médecin stupide? Préscrire des médicaments, le pauvre ne sait faire que çà
    . Bref, faut faire comme les humanistes et apprendre l'encyclopédie. On se rendra compte maudites cervelles ambulantes qu'il existe aussi un corps un affect et un psychisme qui demandent à être réeduquer pour permettre à l'individu de trouver un semblant de liberté, au moins Celle de l'intérieur

    Ainsi soit-il

  2. #12
    Estelle br Guest

    Par défaut

    " Quel type de pouvoir peut corrompre ?
    Peuvent-ils tous corrompre ?
    Comment corromptent-ils ?
    Par quels moyens ?
    Comment éviter la corruption ou faut-il la combattre
    ? "

    Toute forme d'éducation corrompt dans le sens où elle inculque des valeurs, des données etc etc ... que ce soit celle des parents, ou des programmes de l'éducation nationale.
    Mon meilleur souvenir était lorsque j'étudiais pour moi-même, pour mon plaisir et ma curiosité... et lorsque j'ai été "initiée" à la philosophie par un savant fou : mon premier texte était un extrait des Lumières et la liberté de penser.

    Comment éviter la corruption ? En donnant les moyens aux citoyens et à l'humain de découvrir de tout, d'ouvrir nos persepctives à d'autres mode de connaissances pour pouvoir nous situer nous placer dans " le moule" ou le "monde" choisi.

    Voilà en gros . Que chacun est les moyens de devenir ce qu'il veut être .

  3. #13
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

    Par défaut

    Chère Madame,

    Chacun "sait"(seulement s'Il le veut,bien sûr....) que l'éducation est une "forme" du dressage social....
    L'enfant "apprend" à faire le singe de ses parents son domptage....
    Celui-ci n'exclue pas le fouet ou la gifle(ce qui va plus vite que le fouet).....

    Chacun "sait" de même que les alternatives(l'éducation non autoritaire ou autres formes) sont souvent pires.....La suggestion est alors "utilisée" pour s'immiscer d'une manière encore beaucoup plus subtile dans le comportement,pour laisser des traces indélébiles...

    Ainsi la manière dont on leurs apprend à mentir.....
    Par la force.....
    Mettez l'enfant dans cette situation "silencieuse" du type:si tu ne ments pas alors il aura des c.....

    Voilà ce qui s'appelle corrompre....

    Chaque politicien qui"sait" mentir en est un produit....
    Et,qui ne sait pas mentir?......

    Voyez donc ....

    La pédagogie n'est donc pas la forme intellectuelle d'un pouvoir:c'est une arme....
    Cette "arme" permet la domestication,"à faire le beau" (devenir du chien de cirque) ou un clown plus ou moins bon ou mauvais.....

    Ainsi la "vie" n'apprend pas "autrement" ,contrairement à ce que vous voulez croire....
    Il s'agit toujours et uniquement du dressage d'esclaves qui disent qu'ils n'en sont pas....

    Ainsi,par exemple, la psychologie du travail....

    Elle est "si" évidente que même Hegel (dans sa phénoménologie) en a déduit
    la dialectique du maître et de l'esclave....

    C'est donc pour cette même raison qu'utilise l'institution politique non seulement la bêtise mais aussi l'ignorance du citoyen....

    Ignorance,par exemple,basée sur des opinions érronées,thème socratique central....
    Il n'est donc pas question d'un mythe ou d'une manière de parler "avec des images" d'irréalités ou d'imaginations hallucinatoires....
    ....Il ne peut être uniquement être question de "se" tromper avec des bonnes intentions...
    Pauvres enfants....
    Il est aussi question de vraies bêtises.......

    De vraies à cause d'un mensonge que l'on prétend"universel"....

    Or,des bêtises,voilà des choses qui sont très concrètes....

    Des choses qui,en fait,anéantissent ce que vous entendez par conscience....
    Une "conscience imbécile" étant impossible....
    Mais "beaucoup"veulent croire que l'une,la conscience, n'a rien à voir avec les autres,les stupidités....
    Garder "le silence" s'agissant d'une telle relation:voilà une bêtise,par exemple....



    Avec mes salutations distinguées,
    Brézing-Hamm

  4. #14
    Estelle br Guest

    Par défaut

    "la pédagogie n'est pas la forme intellectuelle d'un pouvoir: c'est une arme"

    Il me vient à l'esprit une chose apprise l'an passé sur l'apprentissage de la "vie" par un enfant.
    Vulgairement, je choisis de vous présenter deux enfants "types" complètement différents: d'éducation différente. Le premier a reçu un enseignement type "cérébral" : sciences, logique, etc.. Le second e reçu un enseignement plus artistique : musique, chant etc.. Ce que remarquent les cientifiques sur ces deux enfants , c'est que leur cerveau s'est dévelopé différement. Je ne pourrais pour le moment décrire plus spécifiquement leurs "différences", ce que je veux metre en avant ici c'est que l'enseignement reçu par l'enfant le conditionne dans sa matière même : celle-ci s'est adapté à l'enseignement qu'il a reçu.
    Le pédagoge ici est le parent, l'instituteur, le professeur .. " la vie" elle-même. Mais ce "type" de vie l'enfant ne le choisit pas vraiment: il est imposé par le - les parents.

    En grandissant le cerveau cesse de s'adapter aussi "facilement", il devient moins maléable.

    La question que je me pose ici est sur la pédagogie elle-même. Dans la mesure où elle "forme" l'individu, le conditionne.
    Quelle "padagogie" offrir alors à l'enfant: celle qui le mènera plus tard vers "l'autonomie".

    Dans mon idéal, ce serait offrir à l'enfant tout ce qui lui est permis pour découvrir son potentiel. Le "réduire" à une machine à penser n'est pas pour moi un idéal. Enfin, je radotte je me fais vieille . Je pense qu'il serait sage d'apporter à un enfant un équilibre tant sur le plan affectif, que psychique et physique: apprendre à l'enfant à reconnaitre ces différents plans en lui, sans en négliger aucun. Qu'il sache qu'il n'est pas que: machine à penser, ou vide ordure émotionnel ( par exemple) ou corps superbe et bien huilé. Il est un tout.

    Je pense que la pédagogie est un moyen mis en oeuvre par l'adulte pour "éduquer" son môme, et qu'un enfant à qui on empêche de vivre ses expériences sous l'égide de "j'ai la science infuse" est un pouvoir à consommer avec "modération".

    En fait je me dis qu'il y a "danger" là où l'enfant devenu grand plonge dans l'inconnu. Bien sûr il peut en être ainsi aussi avec un adulte. Les seuls moyens "connus" aujourd'hui pour être secouru ou aidés sont à mon humble avis bien déplorable et vicieux.
    C'est comme le politicien qui "sait mentir", "qui est le produit de " : c'est çà que je déplore : "être le produit de" revient pour moi à répéter des scénarios imprégnés en nous . Qu'il soient d'ordre physiques, émotionnels ou psychologiques.

    D'où l'idée "universelle" d'un "enseignement" : permettre que dans les écoles des portes soient ouvertes et largement sur d'autres cultures. D'autres modes de vie.
    Enfin

    Estelle

  5. #15
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

    Par défaut

    Il est "évident" que le sujet ici en jeu ne vous intéresse plus.....

    Le pouvoir est-il corrupteur?

    Au lieu d'approfondir ce que peut bien être un pouvoir ET quelles sont les formes de corruptions qui peuvent apparaître à son sujet vous me racontez
    juste tout ce qui vous plaît:des "idées" pédagogiques faciles,des "opinions" de la même qualité....

    A mon avis un ensemble qui ne mérite pas d'être imprimé pour cause de simplicité....
    RIEN mais absolument RIEN de ce qui nécessiterait une seule seconde de réflexion....
    Le produit direct d'un flux de "pensées" tel qu'il vient "en tapant" à la machine ....

    Ainsi l'"idée" (si l'on peut dire) qui consiste à comprendre la pédagogie comme un pouvoir sur ceux que l'on peut "éduquer" ne vous intéresse pas....

    Vous poursuivez votre monologue solitaire dans la certitude de la défense d'un pédagogie "droite" ou "comme il faut",comme l'on voudra.....

    Que la réalité "puisse" diverger de ce que vous dites ne vous dérange pas non plus....

    Qu'il s'agisse,en dernier lieu,d'apprendre un métier pour travailler au moins pendant quarante ans ensuite est sans objet pour vous....

    "Vos enfants" restent éternellement des enfants et vos parents n'y peuvent également RIEN(qu'ils puissent être différents de ce que vous en dites ).....

    Vu que VOUS êtes de bonne foi alors le monde entier l'est
    et si ce n'est pas le cas(vu votre rhétorique) alors ne peut-il plus être question "que" de votre pédagogie....

    En cela donc résulte ce que vous entendez par votre "pouvoir",votre définition du pédagogiquement exact....


    Pourquoi pas?


    Mais votre définition de l'art d'apprendre ne correspond à aucun pouvoir:
    vous êtes hors sujet....
    Et dans votre "définition" n'existe-t-il aucune place pour une forme ou une autre de corruption quelconque.....
    Deuxième hors sujet....

    Nous ne parlons pas de la même chose,c'est tout...

    Avec l'expression de mes salutations distinguées
    Brézing-Hamm

  6. #16
    Estelle br Guest

    Par défaut

    Oui, ile st évident que le message passe mal, croyez le ou non je tâche de compendre et réfléchis à ce que vous me dites.

    Disons que ce qui "corromp" pour moi est le manque , l'abscence de moyens mis à disposition par l'état pour les citoyens. Qu'enseigne t'on aujourd'hui dans les écoles, Certes des choses intéressantes mais qui ne concernent que la culture occidentale. Ce qui corrompt sont les acquis qui découlent de ce mode de vie.

    Exemple: ce qui "corrompt" est d'admettre ce qui est commmunément acquis.
    C'est remettre en question beaucoup de choses...

    Vous me racontiez une jolie petite histoire sur Zeus et la foudre les "hallucinations" : ce qui corrompt est de croire que tout ce qui relève de ce qui est "hors norme" est faux. Une personne entendant des choses, ou vivant vraiment quelque chose dépassant la raison même sera catalogué comme "fou", ou comme "délirant" . Il s'agit là de mon expérience et à force de travail et d'exercice j'ai appris bien d'autres choses sur cette soi diant "folie": et ce n'est ni les médecins, ni les psychiatres, en tout cas ce n'est pas " ce que la société" a bien voulu me proposer qui aurait pus m'aider... au CONTRAIRE.

    Ce qui corrompt est ce qui est imposé par la force. Alors il y a la force des c soit dit en passant, la violence . Tout ce qui ressort de la force physique: j'impose ma volonté bon gré mal gré.
    Mais vous parliez aussi de ce qui savent "mentir" par l'exemple des politiciens il me semble. J'étends çà à tout ce qui n'est pas "ouverture d'esprit". Peut-être ne parlons nous pas de la même chose, soit .

  7. #17
    Estelle br Guest

    Par défaut je tente le diable je m'évertue à penser

    ou juste à me faire comprendre ...


    " ce qui corrompt" notre "vraie" nature , entre autre, est de ne pas enseigner par exemple l'art de vivre son corps !!

    Sieu Brezing Haam, je susi frustrée que vous pensiez que je ne m'intéresse pas au sujet présent. Ce qui me frustre, c'est de ne pouvoir dialoguer aisément avec mes "semblables", ce qui me frustre, c'est de ne SAVOIR transmettre ce que je désire transmettre, ce qui me frustre, c'est de voir que l'autre pense que je susi totalement désintéressée du sujet alors que je n'arrive même aps à voir clairement là où vous voulez en venir. Ce qui me frustre c'est la "communication cérébrale" . C'est comme la télépathie, " çà n'existe pas" : la communication cérébrale !!!!

    Peut-être devrais-je "arrêter" "parfois" , pour "l'amour de la sagesse" de m'acharner bpêtement comme une idiote à ... penser .
    Mais je suis capricieuse et je n'arrêterai pas !

  8. #18
    Date d'inscription
    May 2003
    Messages
    388

    Par défaut

    Lorsqu'il est question d'un sujet,par exemple,le pouvoir est-il corrupteur(?)

    peut-on utiliser deux "procédés" différents....

    Le mot "procédé",ici, est peut-être "polémique" mais il a,aussi, une fonction
    de principe....

    Comme "principe permet-il de distinguer une logique d'un méthode.

    Sous le terme "logique" avons nous une hypothèse plus ou moins spéculative....

    Elle se laisse "diviser",ainsi, selon deux sens distincts.Le premier "logique",c'est-à-dire "construit " selon un ordre de succession
    "chronologique",le second"sémantique",c'est-à-dire systématiquement ordonné selon un plan....

    Si,par contre, nous voulons utiliser une méthode
    (la méthode dialectique,par exemple)
    nous faudra-t-il une accumulation de données avant toute organisation textuelle.....

    Ainsi une "application" des catégories thétiques,antithétiques et synthétiques.....

    Dans chaque "registre avons nous besoin d'une ou de plusieurs "opinions"
    limitées "thématiquement"....
    S'agissant de notre "exemple",par exemple (le pouvoir est-il corrupteur?)
    avons nous besoin d'une thèse.Elle doit signifier"oui" ET donc dire"COMMENT"
    le pouvoir peut-il être corrupteur....
    Dans l'antithèse nous devons trouver un NON et donc "COMMENT" le pouvoir peut-il ne pas être corrupteur.....
    Ensuite,dans la synthèse avons nous un double problème....

    La position antithétique doit être niée mais la thèse ne peut être confirmée
    pour des raisons de progression sémantique....l
    Il faut donc une nouvelle thèse:une qui aille dans le même "sens " que la thèse
    mais qui "contredise" l'antithèse.......
    Si ce "jeu" sémantico-logique est bien mené est-il même possible dans un même paragraphe (ou deux de suite) de nier ce que dit l'antithèse(d'une certaine manière) pour,ensuite, lui donner quand même raison de suite....

    Ainsi peut-on "poursuivre une logique anti-leibnizienne":un donner tort
    pour donner raison.....
    Mais ce que je veux vous dire par mes exemples est le caractére "impersonnel"
    du discours philosophique....
    Il n'est pas question d'être pour ceci ou contre cela:ces opinions-là sont des enfantillages....
    Il n'est question que du degré de "connaissance"personnel et du degré de compréhension
    que l'on a de "la théorie de la connaissance"comprise comme généralité conceptuelle....

    Car plus que cela n'existe pas....

    Ainsi n'existe-t-il que la connaissance pratique(celle du savoir-faire personnel et de la mémoire)+ la connaissance "théorique"(elle aussi mnémothechnique mais aussi pensée)....

    Qu'il s'agissent donc d'une logique,d'un plan ou d'une méthode avons nous donc,plus ou moins,toujours les mêmes "règles" procédurales.
    a)Le caractère "informatique" plus ou moins "complet" du matériel à communiquer
    b) un classement stylistiquement règlé de l'ordre conceptuel fixé....

    Mais,de toute manière:

    -il n'est pas question "d'écrire" sans des règles logiques claires et distinctes....

    -Sans un plan(qu'il soit uniquement basé sur des "articulations logiques"
    ou un ordre de succession sémantique est une question de goût)

    -Sans connaître les arguments qui s'opposent à la thèse que l'on soutient

    -et,plus généralement, sans savoir quelque chose s'agissant de la matière dont on parle.....

    S'agissant du pouvoir,par exemple...Au moins...

    a)il existe(au moins) deux pouvoirs.

    b) 1) un politique 2) un psychologique(L'art de se faire obéir,ni plus,ni moins,par exemple...)

    c)Ces pouvoirs correspondent à plusieurs "contextes"
    Exemples...

    a) historiquement b)ethnologiquement c) sociologiquement d) militairement
    e)psychologiquement f) géographiquement g)juridiquement h)économiquement
    etc....

    d) ils ont toujours une "symbolique"(le sceptre,par exemple)

    e) correspondent á un degré de "culture" et de savoir(par exemple le savoir militaire)

    f) A des textes ayant pour objet le pouvoir...


    Parallèlement des exemples qui prouvent la corruptibilité du pouvoir,d'autres qui montrent "COMMENT" le pouvoir ne corrompt pas...

    De là une des raisons qui permettent de privilégier le mode d'exposition dialectique:le développement d'une parallèle entre les différentes formes du pouvoir et une de "ses" conditions d'existence: corruption et non-corruption....


    Avec l'expression de mes salutations distinguées,
    Brézing-Hamm

  9. #19
    Estelle br Guest

    Par défaut

    merci de vous être donné cette peine, j'en prend note - quelque part. Peut-être me servira t'elle, mais pas pour le moment .

+ Répondre à la discussion

Règles de messages

  • You may not post new threads
  • You may not post replies
  • You may not post attachments
  • You may not edit your posts