Serait libre celui dont l'existence précéderait l'essence...celui qui n'aurait pas de nature.
Le sujet semble jeter un défi: qui est libre, répondez-moi et je vous prouverai qu'il n'est pas libre.
Si l'homme est une partie de la nature comment ne serait-il pas déterminé?
Ne devrait-on pas dire: qui se libère, qui devient libre?
En toute rigueur est libre:
PAR CAUSE DE SOI, J' ENTENDS CE DONT L'ESSENCE ENVELOPPE L' EXISTENCE, AUTREMENT DIT CE DONT LA NATURE NE PEUT ÊTRE CONçUE QU' EXISTANTE.
Première partie, I.
= http://www.philagora.net/spinoza/spin-ethique2.php
Peut-être faudrait-il avant tout distinguer les figures de la liberté
a) Absolue: création de soi par soi: "L'acte volontaire réagit sur celui qui veut". (Bergson).
b) Morale: l'obéissance à la loi ( universelle) qu'on s'est prescrite est liberté (Rousseau).
c) Politique: loi pour tous et par tous .
d) Économique: la liberté de voyager n'est que pour celui qui peut payer le prix.
Est-ce celui qui a obtenu ce qu'il a voulu?
http://forum.philagora.net/showthrea...t=%EAtre+libre
Est-ce celui qui est autonome?
http://www.philagora.net/dissert2/lib-auto.php
Etc.....
Est-ce que ça va mieux?
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir