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Discussion: rien ne vaut la vie...

  1. #1
    kay Guest

    Par défaut rien ne vaut la vie...

    La vie ne vaut rien,
    Rien ne vaut la vie...
    tout le monde connait cette expression mais qui peut vraiment me dire ce que cela signifie?
    je veux bien croire que vous en avez un idée..mais qui a la bonne?
    rien qu'en observant cette expression si commune aujourd'hui on peut sentir la contradiction de ces mots.
    la vie ne vaut rien? certe,chacun en soi s'en plaint...on n'a jamais la vie que l'on souhaiterait....mais après tout,si nous avions la vie rêvée...à quoi rêverions-nous? quelle serait notre recherche dans la vie si nous étions déjà heureux?
    puis....Rien ne vaut la vie...trop peu de personne souhaite perdre cette vie...au fond...un jour ou l'autre nous sommes attaché à cette vie et nous ne souhaitons pas la perdre...mais cela va de soit aussi pour la vie des autres...regardez!même si la vie d'une personne que vous aimez est détruite et ne vaut plus rien...vous ne voulez pas que cette personne la laisse car vous en faîte parti comme elle dans la votre.
    chaque vie est reliée à d'autres...le monde est ainsi,on se plaint mais ne faisons pas toujours quelque chose pour changer.

  2. #2
    Piotrillitch Guest

    Par défaut Je ne pense pas que cela explique clairement la reponse que je voudrais faire

    Cette question d'une étrange
    saveur, passant par la crasse du gange
    se voit catapulté dans les oraisons
    volcaniques de la haine, de On


    La difficulté de ces banales métaphores
    ceux de la survie, du quotidien
    soumis à l'apesenteur, et au polissage
    soufreteux les plaies sont déjà sages
    Nous oublions caracteristiquement
    le miel de notre viande de notre crane en
    amour du genre humain pour être fort
    quitte à avoir à tordre notre corps
    pour le faire or
    tel le besoin de mon vis peut s'acheter
    cause la misère, la morale illusionniste

    rien ne vaut la vie, mais elle ne vaut rien
    la logique excentrique de ça même
    peut se loger dans l'absurdité des humaines
    valeurs qui de son étandard se nourrissent de bien

    Valeur, bonheur, déjà dure à voir, à savoir
    Valeur, droit, proprieté, la mort de l'autre, enfant
    qui de ses découverte se laisse choir
    de cette soufrances, de ces royaumes perdu, haïssant

    desormais les voies sur lesquel On le projette
    oubliant les hypothétiques profondeur d'un choix
    d'un désir de vie, ne pas marcher sur la tête
    permettrais certainement à liberer les moi

    de la place publique, qui de ses griffes assérés, de son coeur
    perpetuellement sanguinolant, perpétuellement
    ouvert, béante de sang enfermé dans sa coque d'acier, de leurs
    s'arrache les entrailles fraîches, à être cherchant
    Heureux quoi??? quesaquotidienne et redondance du chant
    des mortuaires sirènes s'épuisant, se divertissant

    quitter la terre, lorsque ce miel provoque
    le ressentiment et inverse toute
    chose et meurs
    tris sûr
    à

    l'heure
    où d'un aigre pins, d'un olivier éteins
    d'une barbe éffiloché tu feins
    d'exister, déjà mort tu devrais être
    electre
    plagieur
    je chercherais
    à découvrir mon
    idéal temporel, corps mort




    Je ne pense pas que cela explique clairement la reponse que je voudrais faire qui dans ta continuité vise sa fin...Mais qu'est ce que les valeurs de la vie, il faut se rendre compte que les mortuaires valeurs de noire vie planetaire humaine, ne correspondent en rien avec une quelqu'on que volonté de création, le créateur est mort, Athé ke suis, mais Jesus est crucifié, On doit comprendre que le bonheur créatif d'une acquisition hautement difficile, est déjà dans les crâne qui nous entoure une plaie béante jusqu'à l'infini, voilà peut-être pourquoi On se plains, mais On ne change rien, tout du moins c'est ce que je vois que je pense à cet instant précis. Nietzsche prédit l'abolition de ces anciennes valeurs, car selon lui Dieu est mort, il faut s'interoger sur la fondation des futures valeurs que nous voudrions, et savoir mourir quand nous devenons un vieux et crétinois croutons...
    Certainement donner moins d'importance (et cela est une tâche quasi impossible)
    à la continuité sociale de nos affects...ayant pour nouveau fondement le délire créateur, qui toujours plus se communique, toujours plus jeune nous serons...car toujours moins acier nous étions, toujours plus vivant nous étions, tuons nous avant que nous soyons des morts vivants falsifiant toute les nouvelles ardeurs...

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