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Discussion: Commentaire : Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain

  1. #1
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    Par défaut Commentaire : Leibniz, Nouveaux Essais sur l'entendement humain

    Voila je dois faire un commentaire de texte sur Leibniz, Nouveaux Essais sur l’entendement humain, Préface Voici le sujet

    « Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles. Or tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu’ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité, car il ne suit point que ce qui est arrivé arrivera de même. D'où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu'on les trouve dans les mathématiques pures et particulièrement dans l'arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépend point des exemples, ni par conséquence des témoignages des sens, quoique sas les sens on ne serait jamais avisé d'y penser. C’est ce qu’il faut bien distinguer, et c’est ce qu’Euclide a si bien compris, qu’il démontre souvent par la raison ce qui se voit assez par l’expérience et par les images sensibles »

    Pouvez m’aider car je ne comprend rien au texte, j’ai essayé de faire un plan je vous propose le plan que j’ai trouvé mais le problème est qu’après je ne sais pu trop quoi mettre dans ces parties


    I Qu’est-ce que les sens ? : Les sens sont un moyen de connaissance du monde et c'est même le premier que nous recevons à la naissance


    II Ce qu'est la connaissance : une notion universelle, acceptée par tous, prouvée : Ce que Leibniz affirme dans son texte c'est que les sens, mêmes nécessaires, ne sont pas suffisants pour nous permettre de décrire les lois de la nature.


    III Selon moi comment les sens peuvent influer dans ma recherche de la vérité : Pour dépasser les vérités particulières ou éviter les illusions de mes sens il me faut donc le découvrir à travers les mathématiques pures.

    Merci d’avance

  2. #2
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    Je ne connais pas grand chose mais je peut t'apporter deux trois trucs:

    -Les sens sont un moyen de connaissance immédiat des choses qui ne sont pas suffisants pour décrire la vérité. Par exemple lorsque l'on rêve, on ressent souvent des sensations qui nous ont l'air parfaitement réelles mais qui pourtant proviennent de notre imagination. (Mon professeur appelle cette première conaissance des choses la "certitude sensible".)
    Ici les sens ne donnent que l'information sur l'endroit ou nous sommes car ils ne s'exercent pas là ou nous ne sommes pas, ainsi on ne peut jamais connaitre une vérité générale via nos sens car il est impossible d'être partout.

    Il faut donc surpasser notre certitude sensible pour trouver un autre moyen d'approche des choses, ici ta notion de connaissance cherche à trouver un caractère logique, par exemple de causalité aux phénomènes, ou de rapport mathématiques.
    Donc la connaissance au contraire des sens se veut objective.

  3. #3
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    Je vous aide cet après-midi
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  4. #4
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    Voila je dois faire un commentaire de texte sur Leibniz, Nouveaux Essais sur l’entendement humain, Préface Voici le sujet

    « Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles
    présentes: on ne voit pas le passé, on le pense
    , ne sont point suffisants pour nous les donner toutes insuffisant pour avoir une loi nécessaire
    qui ne peut pas ne pas être et qui concerne tous les cas
    et universelle, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples
    particuliers et non universels
    , c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles
    propre à chacun
    . Or tous les exemples qui confirment une vérité générale
    qui donnent seulement confiance dans la vérité générale (à distinguer d'universelle)
    , de quelque nombre qu’ils soient
    quel que soit le nombre des exemple le dernier à venir peut falsifier la vérité générale: voir ce qui suit dans le texte
    , ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle
    La vérité doit avoir un visage pareil et universel
    de cette même vérité, car il ne suit
    il n'y a pas une déduction possibl qui tirerait ce qui suit de ce qui précède
    point que ce qui est arrivé arrivera de même
    il est impossible de prévoir
    .

    Conclusion
    D'où il paraît que les vérités nécessaires, telles qu'on les trouve dans les mathématiques pures et particulièrement dans l'arithmétique et dans la géométrie, doivent avoir des principes dont la preuve ne dépend point des exemples, ni par conséquence des témoignages des sens, quoique sans les sens on ne serait jamais avisé d'y penser.
    A partir d'un cercle tracé sur le sable on pense le cercle parfait comme l'ensemble des des points.....
    C’est ce qu’il faut bien distinguer, et c’est ce qu’Euclide a si bien compris, qu’il démontre souvent par la raison
    par le craisonnement démonstratif, déductif
    ce qui se voit assez par l’expérience et par les images sensibles »


    Est-ce plus clair?
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

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