Tu vois, en fait on se comprend, on en arrive aux mêmes conclusions
Pour ce qui est de la construction, je propose… une autre question ! Ou plutôt une nouvelle orientation
Il peut être tout à fait intéressant de s'interroger sur la réalité du monde : les guerres, les famines, etc. mais certainement pas dans la perspective morale qui a été engagée.
Je propose au contraire une perspective véritablement esthétique, c'est-à-dire débarassée des considérations morales. Ainsi quelques questions : que vous évoque la mort, la souffrance, la maigreur ? N'est-ce pas quand l'individu souffre, lorsqu'il est devant l'inéluctabilité de l'interrogation - pour sa survie physique, mentale, qu'il devient véritablement profond ? Ceci n'est évidemment qu'un présupposé expérimental personnel