Je est-il un autre?
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l'aide n°49
Là vous pouvez vous étonner!
Si je est un autre, peut-on encore parler d'une existence humaine?
Cela ne signifie-t-il pas que le sujet, ce qui est placé dessus les actes de conscience -comme le doute, l'affirmation, la négation, la conception etc- n'est qu'une hypothèse commode?
POURTANT, l'invention est souvent le fruit d'un travail inconscient: par exemple, je commence un travail et, découragé, je l'abandonne. Quelques temps après je le reprends et je trouve une idée, comme si un autre avait pensé en moi!
Mesurez bien l'enjeu d'un tel sujet: si je est un autre on ne peut rien me reprocher: il n'y a plus de responsabilité: avec le sujet, le droit lui même disparaît (je ne l'ai pas fait exprès, "ça" a été plus fort que moi, etc ...)
Dans une 1ère partie: vous pouvez donner les raisons pour lesquelles il semble que le sujet est bien l'auteur de ses représentations et de ses actions.
Pour la transition vers la 2ème partie, vous notez que certaines
représentations et certaines actions ne relèvent pas du je veux et du je pense et amènent à supposer un inconscient (ce qui n'apparaît pas) qui en serait l'origine.
La 2ème partie utilise la conscience réfléchie pour établir une certaine présence de l'autre dans la mesure où il s'exprime dans les actes manqués, les rêves...
Utiliser Freud en particulier la note sur l'inconscient que vous trouverez dans Métapsychologie,
Folio, Essais, n°30 page 173.
=Pour la troisième partie vous pouvez peut-être utiliser cette affirmation de Freud lui-même: "Là où était ça, je dois devenir
=>utiliser Citations; L'inconscient http://www.philagora.net/citations/index.php
Voir le parcours: - La conscience: p.1 et p.2
, l'inconscient
(page index) , le sujet
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir