Je ne vois pas très bien la progression entre la 1ère et la 2è partie ; tu risques de te répéter... et les 2 partie antithèse et synthèse manquent.
c est juste une question, la reponse m aiderai pour ma dissertation sur ''faut-il philosopher?''
...
I. a quoi ''sert'' la philosophie, pourquoi philosopher
- pour penser par soi-m pour ne pas etre soumis aux influences exterieures
...etc
II.dans quel but philosopher
- se liberer des illusions pour etre + autonome
- pr tendre vers le bonheur (=etre heureux?)
III. faut il philosopher
oui : devoir en tant qu''humain''
oui, inevitable pour la recherche du bonheur
oui pour vivre pleinement
mais ... je n ai pas de contre argument...
est ce que l'inutilité de la philosophie en est un?
je pense parler aussi du fait que l on peut refuser la philosophie... mais pas la refuter... c est a dire la nier par la raison? comment ca?
me conseillerez vous de parler des antiphilosophe et de leur arguments?
Je ne vois pas très bien la progression entre la 1ère et la 2è partie ; tu risques de te répéter... et les 2 partie antithèse et synthèse manquent.
... je vois bien... mais je ne trouve pas d arguments pour l antithese... auriez vous une idee a me suggerer?
Il est très facile de réfuter le caractère essentiel de la philosophie ; par exemple en mettant en rapport l'homme avec son évolution animale... la philosophie peut être alors vue comme un beau luxe tout au plus ; l'essentiel dans la vie étant ramené aux besoins fondamentaux (nourriture, sexualité, etc.). Ce n'est qu'une piste parmi d'autres...
Il n'est pas besoin d'être antiphilosophe pour montrer l'inutilité de la philosophie ... Il me semble que la part doit tout de même être faite, à un moment de ta réflexion, à cette "inutilité" de la philosophie, c'est-à-dire qu'il n'est peut-être pas pertinent de la déterminer sous le schème moyen-fin, celui de l'utile. Peut-être serait-il intéressant de te servir de la distinction kantienne entre valeur relative (ce qui ne vaut qu'en tant que moyen) et valeur absolue (la fin en soi) telle qu'elle est mise en oeuvre dans Les Fondements de la métaphysique des moeurs ou encore dans la première partie de la Critique de la faculté de juger.Posté par CousineNDA
Voilà, j'espère que cette remarque te sera "utile" !
Bon courage à toi : c'est un sujet difficile mais qui peut aussi être enthousiasmant !
Pourquoi la recherche du bonheur?
http://www.philagora.net/ph-prepa/di...eur-que-du.php
je viens de lire un livre de Michael Maes qui explique comment il traite les depressions, et autres maladies psycologiques grace a l'Omega 3.
Il explique que les sentiments se creent dans le cerveau grace a des substances, celle ci sont fabriquer a partir d'omega 3. On pourrait donc etre heureux et connaitre le bonheur grace a des piqures d' omega 3.
C'est naturellement un peu simpliste mais cette rencontre entre la biologie et la psychologie ouvre d'autres facons de penser: notre nourriture aurait de l'influence sur notre psyche. Notre corps et notre psyche ne sont pas des choses distintes! mais completement lies l' une a l' autre
Dernière modification par margenie 07/12/2005 à 12h10
Je ne vois rien là de bien nouveau;
sinon une ressucée de cette bonne vielle méthode pour faire un peu de blé...
présenter comme un travail de recherche fondamental une simple adaptation et actualisation des avancées et leur intégration dans un phénomène connu, lui, depuis que l'homme a acquis la conscience du fait qu'il pense.
L'influence de ce que l'organisme absorbe sur la façon dont il ressent son environnement d'une part, sa perception de lui-même d'autre part, et enfin la perception qu'il a de l'intégration de l'un dans l'autre, tout cela fut pressenti très tôt, étudié très vite, et très rapidement connu.
Les découvertes successives dans le domaine de la chimie organique et de la cinématique moléculaire ne font que jouer ici un rôle de réactualisation permanente du catalogue...
Pour shématiser sans nuancer: l'humain sait, depuis la nuit des temps, se saoûler la gueule...
... mais aussi...
Euhhh...
Désolé; du coup, j'ai zappé le fil du topic... Mea culpa.
Donc, j'y retourne:
Je pense que non seulement, il faut philosopher... mais que c'est un besoin fondamental.
C'est, pour moi, le corollaire incontournable de l'accession à la faculté de penser: l'utiliser !
Je veux dire: "l'utiliser", dans le sens de lui permettre de se nourrir d'elle-même; pour sa propre survie, la pensée se doit de participer à l'évolution de l'organisme avec lequel elle elle définit sa propre "existence".
S'il fallait trouver un "contre-argument" à ce besoin, peut-être serait-il possible de mettre en avant son corollaire inévitable: la perpétuelle "insatisfaction" qu'elle génère, comme un contrepoids obligé à toute exaltation de recherche de réponses...
Mais dans cette optique, est-ce encore vraiment un contre-argument ?...
Une autre façon de "contrôler" ce besoin, puisqu'on ne peut (sauf à risquer de "disjoncter" sa propre pensée) s'en passer, c'est de le circonscrir dans un domaine "rassurant" dont il ne peut s'échapper; la seule façon d'élaborer un tel "domaine", c'est soit de l'inventer [se fabriquer son "univers"; au risque de le voir se "matérialiser" dans celui existant comme une tumeur (psychose, névrose, ou autre trouble de personnalité...)], soit d'adopter un modèle "préfabriqué", qui corresponde à nos idéaux ("vérité révelée", dogme sociologique ésotérique...); et de ne plus "sacrifier" à ce besoin que dans le but de faire à tout prix coïncider cet univers avec ce que l'on perçoit alors de celui dans lequel évolue le couple 'organisme/pensée' dont on dépend.
De Helloween ::-)Pour shématiser sans nuancer: l'humain sait, depuis la nuit des temps, se saoûler la gueule...