Le problème dont la solution peut vous aider:
Quelle est la condition de possibilité d'un savoir sur le mal?
Quelle réalité peut-on accorder au mal?
Effectivement le mal dans une chose revient à dire qu'elle manque d'une qualité qu'elle devrait posséder à la racine, de manière donnée, naturellement; autrement dit elle est privée ce qui revient à dire qu'il y a défaut, absence: le mal c'est la privation autrement dit ce n'est pas une réalité.
"Nous voyons que si le mal n'a rien de positif, sa présence dans l'univers serait inintelligible sans l'existence de sujet positif et réel qui le porte... le véritable et unique support du mal c'est le bien." Gilson, le thomisme p.213 217.
En somme vous avez à discuter cette affirmation si vous voulez répondre à votre sujet. Le problème est posé dans philo-prépas: http://www.philagora.net/prepaid.php le mal de quoi s'agit-il? Dieu est-il innocent?
Voyez la page dans le grenier http://www.philagora.net/philodeb.php
Leibniz: Dieu et la nature.
Gardez-vous d'évacuer trop rapidement le mal métaphysique et le mal physique.
Pour ce qui est du mal moral peut-on vraiment en faire une simple absence du bien, étant donné ce que la mémoire (je ne dis pas l'histoire, qui nivelle tout) nous dit encore le 20ème siècle. Lisez attentivement dans aide aux dissert. http://www.philagora.net/dissert.php l'aide n°86 Y a-t-il un devoir de mémoire?
Enfin, vous pourriez peut-être vous appuyer tout au long de votre devoir (plan progressif) sur une analyse de plus en plus fine du terme réalité: ce qui existe effectivement.
Autrement dit peut-on refuser au mal le caractère de la réalité? Voyez dans le grenier http://www.philagora.net/philodeb.php Kant le mal radical en insistant: s'il y a un mal radical il y a un bien radical.
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