Bonsoir
Est-ce plus clair?
Grand intérêt philosophique et politique de ce texte!
Joseph
Bonjour
j'ai une explication de texte à faire ,et j'aurais besoin d'aide pour arriver à tirer de ce texte les arguments qu'utilise l'auteur
Voici le texte:
"Il n'y a de pensée que dans un homme libre, dans un homme qui n'a rien promisparce que penser c'est penser par soi-même et penser par soi-même c'est exercer sa liberté, qui se retirecar il serait lié à sa promesse et non à la vérité, qui se fait solitairepour un dialogue intérieur où c'est lui qui interroge et qui répond, qui ne s'occupe point de plairese coupe des influences, rentre en lui-mêmeni de déplairecar il perdrait sa liberté de dire ce qui déplaît. L'exécutant n'est point librecar il perdrait son objectivité entraine par la haine par exemple; le chef n'est point libre.il suit les ordresCette follecar il dépend des ordres qu'il doit donnercar elle exige le sacrifice de la penséeparce que elle exige le renoncement à la penséeentreprise de l'union les occupe tous deux. Laisser ce qui divise et choisir ce qui rassemble ce n'est point pensercar l'union exclut la division, le doute et donc l'exercice de l'esprit dont l'essence est la liberté.Alain explicite sa pensés: on ne pense point (voir le début)
Ou plutôt c'est penser à s'unir et à rester unis; ce n'est rien penser d'autre.pauvreté d'une telle pensée qui est esclave, au service, qui ne pense quà un projet impossible, incompatible avec la liberté
La loi de la puissance est une loi de fer.qui empêche, qui entrave la liberté et donc la pensée
Toute délibération de puissance est sur la puissance, non sur ce qu'on fera.Ce qu'on enOn ne délibère pas sur ce qu'il faudrait faire mais sur comment préserver ou accroître la puissance en excluant le doute qui divise.fera? Cela est ajournéen= la puissance: on n'y pense pas car y penser produirait la divisionparce cela diviserait. La puissance, sur le seul pressentimentremis à un autre jourd'une pensée , frémitelle sent à l'avance une penséetoute et se sent défaitea peur de se perdre. Les pensées des autresvaincue, quelles qu'elles soient, voilà les ennemis du chef mais ses propres pensées ne lui sont pas moins ennemiesde ceux qui ne pensent pas comme lui. Dés qu'il pense, il se divise en celui qui interroge, met en question et celui qui répond ; il se fait juge de lui-même. Penser, même tout seul, c'est donner audiencegare s'il se met à penser, à douter: le doute le rongeraest c'est même donner force aux idées de n'importe qui. Lèse-majesté. Toute vie politique va à devenir une vie militairepeser le pour et le contre comme un juge, si on la laisse aller.où tout le monde marche au pas
Petit ou grand parti, petit journal ou grand journal, ligne ou nation, église ou association, toutes ces êtres collectifs perdent l'espritpour chercherc'est àdire l'esprit= la liberté, le sens du doutel'union; un corps faite de multitude d'hommes n'a jamais qu'une toute petite têtechercher et pas nécssairement trouver. L'union qui se fait au prix de la liberté est fragile, aveugle..., assez occupé d'être la têteun dirigeant. Un orateur quelque fois s'offre aux contradicteursd'y rester; mais c'est alors qu'il croit qu'il triomphera.accepte la contradictionL'idée qu'il pourrait être battu , et, encore mieux, content d'être battu, ne lui viendra jamaisil nre joue pas le jeu du dialogue, il est conaincu qu'il a raison."parce qu'il a renoncé au doute, à l"esprit
ALAIN
J'ai rédigé mon introduction mais j'ai vraiment des difficultés avec le développement. Pourrais-je avoir de l'aide s'il vous plait
Merci
Bonsoir
Est-ce plus clair?
Grand intérêt philosophique et politique de ce texte!
Joseph
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
Et pour le deuxième paragraphe du texte s'il vous plait ?