Son principe vital certes, mais aussi son esprit quand il s'agit d'évoquer le vivant ce qui est autre que "les choses".. Cela est donc également relatif à l'univers de la pensée, qui elle est abstraction. Cependant un animal pense, il fait partie du vivant, il n'a cependant pas la "conscience d'être". On peut alors concevoir que seul l'humain peut saisir ou analyser qu'il a un corps (envelopperéférence au vivant) mais également un esprit, puisqu'il pense, réfléchit et peut organiser sa propre "existence... (Je ne sais pas si je suis claire ?). Il n'est pas qu'instincts ce que vit l'animal, voire la plante quant à la quête du soleil....Je serais encline à dire que sans le corps qui est le support de la vie, comment avoir, un souffle, une densité, une réflexion, donc une pensée ou un esprit, sans même parler de la notion de "divin" en l'homme [générique] ?Cette quête fût celle de nombreux philosophes au fil de l’histoire, comme Platon, Descartes, entre autres. Encore aujourd’hui dans une plus modeste mesure, au travers de l’intitule sur lequel, nous avons à nous pencher, il est question de l’essence. En effet, nous demander si «*concevoir l’esprit doit passer par un oubli du corps*» équivaut à nous demander si la saisi de ce qu’est l’esprit, ne peut se faire qu’au dépends du corps ?. Le corps est subtances, l'esprit, lui est essence..et cezs deux principes sont interdépendants et devraient être en symbiose totale alors que d'être vécus ou ressenis comme duales.Exigeant ainsi de nous, toute une réflexion (dans un temps qui disons le et très restreint voir intenable pour moi) qui amènera à considérer avec le dualisme, l’esprit et le corps telle des substances absolument distinctes et indépendantesNon point, avec ce que je tentais de dire précédemment.Mais qui s’avéreront après mure réflexion, entretenir entre elles quelques formes de relation. Une relation que nous verrons en faveur de l’âme, avant d’assister à ce qui s’apparente à un renversement, qui débouchera tel un bouquet final, sur un moniste triomphant.
I Le corps et l’esprit : des réalités distinctes et distantes
Je trouve cela un peu confus...A. Un dualisme absolu des substances.
Mais, avant tout chose considérons la pensée philosophique qui lui est opposée, à savoir le dualisme.
Un dualisme qui pose / postule / pose tel un fait établi, l’existence de deux substances opposées, indépendantes et cela de sorte à ce que nous aillons d’un coté «*l’esprit*» entendu avec (= conjointement) Descartes dans le sens «*d’âme*» et de l’autre, le corps.
Ce dernier est perçu (par les dualistes) comme une substance matérielle, étendu, appréhendable par la raison et par la même également par les sciences, mais d’abord et surtout comme chose gênante pour l’âme. Elle, diamétralement autre, substance noble par excellence, immatérielle, autonome ou entre close sur elle-même, nécessite si nous voulons en avoir une quelconque connaissance, que nous utilisions uniquement ses capacités propres, notamment la pensée. (Cela résulte d’un impossible du fait de leur opposition recours au corps)
Votre manière d'expliquer la chose me paraît très confuse, selon moi bien entendu.Qu’est-ce qu’un principe vital dès lors qu’il anime rien ?B. Une tentative de l’âme afin de se saisir….
Une pensée, à laquelle est dévolue la lourde et problématique «*tache*» de se concevoir elle-même, c’est-à-dire ici de se saisir avec pour tout instrument le seul «*entendement pur*» , tel la faculté de connaître par le truchement de concept à priori. (Indépendant de toute expérience)
Or cela n’est pas sans poser problème. Ce dernier résidant essentiellement dans la focalisation. Le point de vue à la fois d’observateur et de chose observée est difficilement tenable et pas nécessairement viable. Et cela principalement en raison du fait qu’il est synonyme de subjectivité de l’exam. Une subjectivité grande porteuse d’erreur, en ce que je ne vois de moi-même , ce que je ne veut bien voir et cela en dépit de mes efforts pour être objectif, les mobiles qui détermine ma propre image étant en grande partie inconscients, inaccessible à toute correction.
La seule manière pour se «*voir*» objectivement, serait de sortir de soi même afin de pouvoir d’examiner (ce qui suppose d’être contentieux tel un objet avec froideur. A supposer qu’elle le puisse, à supposer même qu’elle tire d’une instance supérieure (= Dieu : idée innée) cette faculté que constaterait- elle ?
C. … qui se solde par un échec et l’entraîne vers l’aporie de l’angélisme.
Qu’elle n’est comme se plaisait à le penser les ange listes qu’un «*pur esprit*», une entité informe, invisible et impuissante face au monde ? Ne réaliserait elle pas alors, qu’elle n’est rien et qu’en plus de cela, tout un pan d’elle-même lui échappe?
Ne lui faut il pas alors être corporaliser , s’incarner, pour être, pour tenir son rôle d’entité connaissante, manipulant , corrigeant les impressions du corps devenu sien ?
L’âme a ainsi impérativement besoin du corps et des informations, qu’il lui fait parvenir, pour se forger une connaissance du monde extérieur auquel, il a maintenant accès [/quote]. Les deux derniers paragraphes sont évident, tandis que ce qui précède est tout, sauf clair...
Mais, cette connaissance n’est directe. L’âme n’est de fait point en rapport avec l’Etre des choses et pour cause les sens sur lesquels elle prend appui , ne la met et ne peuvent la mettre qu’en contact avec la chose phénoménale, telle qu’elle nous apparaît , en tant que phénomène et qui à ce titre, est changeant. De là, en tout état de cause la nécessité pour elle d’opérer (sur le modèle cartésien ?) une réduction eidétique c’est-à-dire un mouvement de l’esprit (analogue à l’abstraction) qui aura pour finalité d’épurer la chose perçue, de tout ce qui relève en elle, du changeant, pour en déterminer, en garder uniquement la substance.
[quote]II. L’esprit et le corps : des inséparables.
A. L’antériorité de la pensée.
Le corps bien qu’étant parvenu à reprendre une place dans ce qu’est et peut prétendre être l’esprit. Il n’en reste pas moins, qu’il est soumis à ce dernier. En effet, le bon prince (marre de dire esprit) a le monopole de l’intention en tant d’action volontaire et finalisée (en vue d’une fin entrevue et choisie mentalement) et tends à faire exécuter au corps sa volonté.
Ainsi, ce ne faut dire : «*mon bras qui se lève*» mais «*je lève mon bras pour*». Ici, c’est «*je*» qui domine et impulse.
Un bémol tout de même, si le corps est celui qui objective l’intention de l’esprit, c’est dans le même temps, lui qui sera considéré, c’est par rapport à lui que se formeront les réactions des corps environnant, de sorte que ce dernier contre toute attente , tiens le haut du pavé.[quote] Votre manière de dire les choses paraît assez confuse... J'ai lu le reste... mais... il serait bon que vous tachiez très justement à l'aune des différentes écoles évoquées de clarifier par l'exigence des mots votre proposition.
Je pense que vous devriez vous relire, tant vos propos deviennent abstraits pour le coupIII. Le monisme.
Les partisans de ce courant de pensée affirme l’existence d’une seule et unique substance, matérielle pour les uns, immatérielle pour les autres.
Ce dernier rejoint en quelques points la conception angélique mentionnée dans la partie une, (grand B).
Le monde pour les monismes spiritualistes n’est que pensée ou plus précisément ma pensée. Rien n’existe en dehors de moi, ce que je conçois mentalement, de sorte que si par exemple, je ne me représente pas l’arbre qui trône en mon jardin, alors ce dernier n’existe pas. Je suis donc en toute bonne conscience le producteur du monde, «*le monde est ma représentation.*».
Mais, trêve de digression, intéressons nous plutôt au moniste dit matérialiste. Il prétend quant à lui, que l’unique substance est la matière. Tout est matière, y compris mon esprit. De sorte qu’il n’est plus question de séparation en vue de la représentation au-delà du corps, de l’esprit, en ce qu’il est lui-même un corps. L’esprit est un corps. Une pulsion parmi les autres, âmes multiples, à l’exception que celui-ci (appelle conscience) domine.
Une pulsion qui par sa seule et modeste existence réduit au rang d’erreur, la conception cartésienne du sujet.
Un sujet telle une entité fixe, consistante, auquel on associerait des prédicats comme autant d’adjectif affublé au sujet, d’une phrase. Cette vision ci est une erreur en vertu du fait que le sujet, n’est pas un pilote dans son navire, détaché de toutes influences, mais au contraire en subit en permanence. Interagit en permanence. Or qui dit interaction dit altération. Et donc, un sujet en devenir perpétuel.
Elle, Vous appartient.. alors rien à dire !Conclusion :
La question qui demeure en mon esprit à présent, est celle de l’importance du fait de concevoir. L’important réside il en cette activité ou bien ce qui importe finalement, c’est vivre. Vivre en s’abstenant de méditer.
Ps : j'ai volontairement omis de faire une partie sur "l'union cartesienne" car trop attendue et trop difficile à négocier pour mon pauvre intellect.
Ps 2 : Je relis que très rarement . Donc pardon pour les fautes.
Cordialement
Il me semble que vous devriez revoir tout cela avant de l'adresser...Mais je demeure redire que je ne suis pas Pr....en philo...