mmm ! LA métamatiere !
J'ai trouvé une notion interressante , sur laquelle je vais me pencher .
Si je vous dis :
L'engagement
Vous penser à quoi ?
mmm ! LA métamatiere !
L'hypocrisie, bien sûr !
La volonté de puissance, l'envie de repousser ses propres limites, qui prend l'engagement comme moyen de se réaliser.
Je rejoins Kaj, et je rajoute le snobisme et le conformisme.
Je rejoins elbaid, parce qu'il me fait du bien.
Je me rejoins moi même, et je rajoute que toute forme d'engagement est l'un des artifices les plus en vogue après le look de Britney Spears.
Et je dois dire aussi qu'en ce moment je suis assis sur la lunette en plastique de mes toilettes, avec le robinet qui goutte dans une bassine de manière laconique, et que mon portable diffuse à fond la caisse du Michael Jackson. C'est très bizarre. Je crois que je vais zapper sur Laroche-Valmont (T'as le look coco!).
Biz, hihi!
Garrisson j'ai beaucoup apprécié ton dernier post sur l'orgeuil
....tres humaniste...! a ciao..
C'est croire à des idées ! L'engagement peut se comprendre dans des choses simples, premières, sur un plan familial,
sociétale/politique, religieux, philosophique. L'engagement couvre un panel d'options assez vaste.
Pour ce qui concerne l'action "politique", c'est penser que nous pouvons à notre minuscule échelle changer ne serait-ce que la pensée de notre périphérie directe, l'infléchir, l'améliorer, tendre vers un meilleur (cela on le pense, on le fait jeune), c'est répondre à une espèce d'élan, d'espoir.
L'engagement tel celui que l'on peut avoir au sein d'un syndicat, fédère une force, un contre-pouvoir.
L'engagement correspond souvent à une certaine inflexibilité de la pensée.
Tout au long de la vie, l'engagement se transforme, il se dilue peut-être pour faire davantage dans différents domaines, cela devient davantage une éthique de vie, en tout et pour tout.
Je le ressens ainsi, mais évidemment ça ne vaut que pour moi.
Ne serait-ce que le papier dont vous parliez ci-dessus... on achète pas le même, on ne tire pas l'eau n'importe comment ;
par contre on ne se laisse pas berner d'illusion en achetant les fameuses lampes à basse consommation qui seront bénéfiques 5 ans plus tard...) on trie avec plus de pertinence.
L´engagement a toujours été une notion-piège....
Si ses objets n'avaient pas toujours été aussi "plats" elle aurait déjà fait beaucoup plus de victimes....
Mais Dieu en soit loué elle ne peut,très souvent,que tromper ....enfin.....
L'essentiel,en effet, est plutôt ce que ce mot implique.Un humanisme,un socialisme,un risque....
Un piège à rat idéal,en un mot....
Car un risque "bien calculé n'en n'est pas un......
En principe: il faut toujours prévoir le revers de la médaille.....
S'engager,ainsi, doit toujours être pensé avec une voie de retrait possible,avec,au moins, un pat éventuel.....
Si non l'engagement,comme celui d'entrer dans un couloir sans lumière,peut impliquer des rencontres désagréables.....
il faut donc,concrètement, toujours jauger d'abord le type de processus qu'il implique,des situations,plus loins, qui peuvent en résulter.....Il,en tant qu'abstraction à comprendre concrètement a toujours besoin plus d'une préface que d'une intention....
elle ,cette dernière, ne fait voir,uniquement,que le caractère potentiel des choses.....
Il lui faut,cependant,plutôt un plan ou une marche de route pour que "son" résultat puisse être concluant....
Beaucoup,cependant, se sont d'abord engagé sans en mesurer la grandeur,ensuite,l'ombre......
Il ont,malheureusement, très souvent payés de leur vie,
pour rien....
Un engagement donc,comme un contrat douteux est ,principalement, à rejetter....
Pour donc dire les choses comme elles sont il faut en connaître les circonstances,la conjecture contextuelle,en effet....
Aller anticipativement de l'avant,en savoir plus que la description de ce qui "arrive"....
S'engager plus sur la voie de la connaissance que sur celle de l'action,plus par principe et moins "en principe"....
Ainsi peut-on éviter l'engagement comme notion-píège,
ce qui ,bien sûr, est l'essentiel....
Ce peut-être aussi, avec ce qui est proposé, juste avant, l'affirmation d'un nihilisme têtu, alors pourquoi ne pas mourir ? Tout faire pour, sans en affliger, culpabiliser le monde, son entourage, les ondes tandis que le soi "MOI/MOI/MOI" crie au secours, se régalant de la vase qu'il garde et dont il se goberge pour empoisonner autrui !
La vie (l'existence surtout, si différente), peut se trouver un but, une raison pour penser, bouger, transmettre.
Vat !!!
Rien de grave à cela. Tout s'exprime, tels tous les postillons !