Il semble qu'il doive me manquer une intelligence"certaine" pour pouvoir suivre le sens "synthétique" de votre texte....
De quel type "d'agrégation " parlez-vous là,s'il vous plaît?
L'évidence de votre optimisme s'agissant de la "curabilité" de l'être humain,par exemple....Croyez-vous vraiment, ainsi, d'entrée de jeu et sans introduction que nous parlions forcément ET automatiquement de la même chose(?).....
D'autre part ce qui est à opposer à l'intelligence ce n'est pas la science(comme si l'intelligence "philosophique" aurait la science comme adversaire:avec quelle utilité,d'ailleurs?) mais la bêtise.....
Et elle,cette derniére, ne connaît qu'une liberté arbitraire qui n'a besoin ni d'exactitude ni d'efficacité...
S'agissant du reste,c'est-á-dire de votre optimisme répété s'agissant des attributs obtenus ou à obtenir
par les philosophes: inovation, éveil, moi,etc...
Il s'agit-lá bien,de ce typiquement "humain",des mêmes illusions qui sous d'autres formes...Je vous fait cadeau du reste....
Finalement vous n'en sortez pas
Pourquoi la "situation psychique" de l'être humain est-elle si déplorable?
Pourquoi on ne peut l'aider ou pallier dans un tel état?
Pourquoi ne peut-il se laisser aider, l'humain, ainsi?
Donc une réflexion toute aussi globale qu'analytiquement fondée dans votre texte, ne fusse qu'une esquisse, par exemple, n'est nulle part..... S'agissant de cet objet....
Votre optimisme.....
Il pourrait ressembler au principe d'une politique qui substitut à la compréhension de la nature humaine celle du conditionnel passé comme faisant suite au conditionnel présent....
C'est tout....
Le reste, c'est-à-dire cette tentative désespérée d'une définition(quelconque) par rapport à la science n'est qu'une vieille litanie: déjà Kant l'a montré: une faculté de juger SANS pouvoir de décision: de quoi faire rire n'importe quel politicien même de la troisième rangée....
Enfin, pourquoi la philosophie n'a-t-elle aucun domaine indépendant des autres sciences?
Ne sont-ils pas assez "intelligents" (les philosophes) pour obtenir une importance politique indépendante du prestige de la science?
D'où vient le déficit "psychologique" d'une telle inéficacité sociale?
Ainsi peut-on "comprendre" pourquoi ce qu'ils entendent par liberté n'a psychologiquement aucune utilité....
Car, d'abord,il faudrait bien savoir,contrairement à ce que prétendent (ou ne prétendent pas?) les philosophes:quel mot (?) à quelle position(?) dans quel registre lexicologique (?)
A vous de répondre si vous le voulez....ou le pouvez....bien.......