Le particulier
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De pars = la partie, particula = la petite partie.
Prenez garde qu'il ne s'agisse pas de l'adjectif mais du nom. le thème désigne alors la personne privée. Il me faut qu'il faudrait partir de là même si dans votre parcours, vous envisagez l'adjectif (qui appartient en propre à quelqu'un). Ne vous écartez pas du nom, précisez qu'on peut considérer le nom
comme un adjectif substantivé.
(Nous avons trouvé la même difficulté entre politique et le politique)
=Point de départ possible: prendre en compte deux expressions devenues courantes:
-L'induction = conclure du particulier au général. N'est-ce pas une monstruosité? Peser le terme conclure.
- "Il n'y a pas de science du particulier", dit-on. Pourquoi vaudrait-il mieux, en toute rigueur dire qu'il n'y a pas de science de l'individuel, du singulier.
En effet, le particulier c'est ce qui est distingué, le singulier c'est ce qui est distingué et qualifié.
Comment procéder?
Vous pourriez partir de ce que le particulier n'est pas pour aboutir à ce qu'il est .
=> Ce que le particulier n'est pas: ce n'est ni l'individuel, ni le
singulier.
=> Une opposition est toujours éclairant, un contraire éclaire l'autre: opposer le particulier à l'universel et au singulier.
=> Ce qu'est le particulier:
- En logique, un terme qui désigne ou bien des individus indéterminés ou bien une proposition dont le Sujet est un terme particulier.
- Dans l'usage courant le particulier = un individu, une personne privée.
Par extension , il va désigner le domaine privé.
Un problème à poser: comment distinguer le privé et le public, où commence l'un, où finit l'autre? Y a-t-il une frontière?
Une piste: La singularité des particularités: exploiter cette expression pour mener votre recherche.
Cordialement. Joseph Llapasset
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Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir