Tu fait de ton experience une géeralité alors.... beaucoup de philosophe se questionnent sur l'origine du Déclic philosophique et si c'était aussi simple que la souffrance ... ca se saurai...

...un ado (ou autre)qui souffre peut être celui qui reflechi le moins ... les exemples de pseudo rebellion, de satanismes... et encore une personne qui soufre VRAIMENT (pas d'un petit complexe existenciel bourgeois) aurai bien d'autre préoccupation que la philosophie... voir les pays sous développé...

...Ensuite ne voit t on pas des montesqieu ou autre sorti d'un univers douillet qui philosophe... car il existe aussi ceux qui dans un train train sans souffrance et quotidien vont philosopher... donc ton explication de la philosophie par la souffrance ne tient pas debout dans l'absolue

"d autre part, il est vrai que le corps et l esprit sont intiments liés, même s il est possible de vivre en les distuinguant totalement l un de lautre. "

Je suis d'accord...
Ce que je critique c'est le fait de définir la philo... par le coeur et par la sensibilité... et de rajouté... c'est la pensé qui nous freine dans la philo... c'est le summum de la C....

"qu on me croit ou non, la pensée peut agir sur le corps."
Effet réthorique sans interet philosophique... qui irait dire que la pensée ne peut agir sur le corps...
Ces techniques sophiste, pour convaincre, me hérissent.