=Pour la recherche des idées:
==>Il y a une lecture incontournable, un texte de Rousseau qui concerne directement votre sujet: Du Contrat social, Livre I, chap.III: "Du droit du plus fort" qui se termine: "convenons donc que force ne fait pas droit".
Lire aussi le chap.IV: "Restent donc les conventions pour base de toute autorité légitime parmi les hommes".
Consultez dans la page express: http://www.philagora.net/express.php
CLIC sur le DROIT. ( http://www.philagora.net/philo/le-droit.php avec les liens proposés, en insistant sur les figures du Droit)
2) Voir aussi dans Marx le rapport entre l'infrastructure et la superstructure (les rapports de force de production et l'idéologie).
3) Voir dans aides aux dissertations http://www.philagora.net/dissert.php l'aide n°48. La loi constitue-t-elle, pour la liberté, un obstacle ou une condition? http://www.philagora.net/dissert2/loi-lib.php
== Si on se fie au rapport de force on revient à la violence de l'état de nature ou celui qui sait bien crier asservit le plus faible....le contraire de l'état de droit!
Au-dessus de la foece il y a la raison et le bien commun , le but d'une bonne politique.
Lire les deux interventions de Géo: "Toute politique n'est elle qu'une lutte pour le pouvoir?"
http://forum.philagora.net/showthrea...rapport+forces
Kant: Une piste:
"Cette diversité entraîne, il est vrai, avec elle le penchant à des haines réciproques et des prétextes de guerre, mais conduit d'autre part avec les progrès de la civilisation et le rapprochement graduel des hommes vers une harmonie plus grande dans les principes, et une entente dans un état de paix qui n'est point produit et garanti comme le précèdent despotisme (sur la tombe de la liberté) par l'affaiblissement de toutes les forces, mais au contraire par leur équilibre et leur émulation la plus vive."
="La négation du concept d'intérêt général aboutit à supprimer l'objet même du politique, la notion de bien public ne pouvant plus apparaître comme la finalité du pouvoir mais seulement comme le prétexte pour l'obtenir afin de donner satisfaction à un désir suspect de puissance et de domination." Farabo, L'État des libertés.
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir