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Des nouvelles de mars
à Robinson
Niel
Niel va partir sur la lune
Il prépare sa fusée
Et il rassemble une à une
Les choses qu'il doit emporter
Une lettre un drapeau la photo de son fils Julien
Il a dit à sa femme je ne sais pas quand je reviens
Il a déjà le mal du pays
Le mal des amis
Mais tant pis
Ça ne compte pas pour des prunes
De marcher sur la lune
Niel a quitté sa maison
Pour la base de lancement
Il met sa combinaison
Son casque transparent
Dans sa bulle déjà loin de toute cette agitation
Il n'entend que son coeur le bruit de sa respiration
Il a déjà le mal du pays
Le mal des amis
Mais tant pis
Ça ne compte pas pour des prunes
De marcher sur la lune
Niel a couru sur la lune
Au bord des p'tits volcans
Aussi léger qu'une plume
Qu'un oiseau dans le vent
En s'penchant il a vu bleue et verte dans l'univers
Une planète c'est chez lui c'est vraiment le monde à l'envers
Il resterait bien toute la vie
A voler dans la nuit
Mais tant pis
Ça ne compte pas pour des prunes
De marcher sur la lune
Ça ne compte pas pour des prunes
De marcher sur la lune
Niel a marché sur la lune
Paroles et musique : Fabienne Robert
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j'ai connu
un Autre
Julien..
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Les choses de la vie
Ne me demande rien
(Pascal Baehrel/Laurent Manganas)
Ne me demande rien
De plus rien de moins,
Mon amour
Ne me demande rien
D’autre que ma main,
Chaque jour
Au-delà des tourmentes
Et des fleurs qui fanent
Alentour
Il n’y a rien qui me tente
Plus que nos matins
A ce jour
On est heureux, c’est presque rien
Il suffisait de le vouloir
On est heureux mais ne dis rien
On pourrait s’en apercevoir
Si la vie ne vaut rien
De plus rien de moins
Mon amour
Je ne demande rien de plus
Que le tien
A ce jour
Au-delà des offenses
Et des nuits qui tombent
En plein jour
Quelque soit notre avance
On est loin du compte
A rebours
On est heureux, c’est presque rien
Il suffisait de le vouloir
On est heureux mais ne dis rien
On pourrait s’en apercevoir
Dorval
(Les choses de la vie)
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Se le dire, se l'écrire
Le crier
Sur les toits
Le bonheur
n'entend pas
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Je veux te voir..., un jour !
***171; Un cheval invisible galope dans le gris de l'aube. C'est le c***339;ur battant, c'est le c***339;ur emball***233; de l'enfant inconnu qui arrive sur moi ***224; cette vitesse de cavalier fou. D'o***249; vient-il ? Enregistr***233; par des palpeurs dispos***233;s sur le ventre de celle qui accouche, ce c***339;ur cogne et rebondit entre les parois de la salle de travail. L'enfant arrive. Je ne vois toujours rien. Ma femme subit depuis le matin une alternance de douleurs et de r***233;pits. Je suis tendu, attentif, mais je ne distingue toujours rien. ***187;
Pierre P***233;ju - Naissances.
Dernière modification par Un autre Julien 29/01/2006 à 23h25
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Corps & ârmes
San Antonio de la Luna
Toutes les vérités seront bonnes à entendre et seront bonnes à dire
Je ne crains pas le mal et me méfie du bien, les normes sont bien pires
Apaisés, les démons qui menacent, mon reflet dans la glace, fusionnel face à face
Je découvre l’été, l’été sans fin
180 degrés d’immense liberté, de chaleur m’envahissent
Retrouver comme un frère, celui que je suis vraiment et sa rage de vivre
L’inconscient peu à peu se déleste des souvenirs épars, dispersés au hasard
Je découvre l’été, l’été sans fin
Un sentiment d’éternité, je découvre l’été sans fin
Ce soir, la lune est pleine et la mer est argent, l’instant est symbolique
Pour qu’une collision épidermique ait lieu, somptueuse et limpide
Je suis prêt, je me sens fort et libre, tu donnes et je reçois, mes ailes se déploient
Je découvre l’été, l’été sans fin
Pour l’éternité, avec toi, l’été sans fin
Etienne Daho
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Sleeping with ghosts
« Protège-moi »
C’est le malaise du moment
L’épidémie qui s’étend
La fête est finie, on descend
Les pensées qui glacent la raison
Paupières baissées, visages gris
Surgissent les fantômes de notre lit
En ouvrant le loquet de la grille
Du taudis qu’on appelle maison
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want…
Sommes-nous les jouets du destin
Souviens-toi des moments divins
Planants, éclatés, au matin
Et maintenant nous sommes tout seuls
Perdus les rêves de s’aimer
Le temps où on avait rien fait
Ils nous restent une vie pour pleurer
Et maintenant nous sommes tout seuls
Protect me from what I want
Protect me from what I want
Protect me from what I want…
Brian Molko, Stefan Olsdal et Steve Hewitt
Adaptation française : Virginie Despentes
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Celui qui chante
« Pour me comprendre »
Pour me comprendre,
Il faudrait savoir qui je suis.
Pour me comprendre,
Il faudrait connaître ma vie
Et pour l'apprendre
Devenir mon ami.
Pour me comprendre,
Il aurait fallu au moins ce soir
Pouvoir surprendre le chemin d'un de mes regards
Triste mais tendre, perdu dans le hasard.
Je l'ai connue toute petite
Dans les bras de sa grande maman.
Dommage, dommage.
J'aimais tellement son visage.
Pour me comprendre
Il faudrait savoir le décors
De mon enfance,
Le souffle de mon frère qui dort,
La résonance de mes premiers accords.
Pour me comprendre
Il faudrait connaître mes nuits.
Mes rêves d'amour.
Et puis mes longues insomnies.
Quand vient le jour,
La peur d'affronter la vie.
Il y a peut être quelque part
Un bonheur dont j'aurai eu ma part.
Dommage, dommage.
J'aimais tant certains paysages.
Pour me comprendre
Il faudrait la connaître mieux
Que je ne pourrai.
Il faudrait l'aimer plus que moi
Et je vous dirai
Que je n'y crois vraiment pas.
Pour me comprendre
Il faudrait avoir rencontré
L'amour le vrai.
Vous comprenez le grand amour.
Et savoir qu'après
A quoi sert de vivre encore un jour.
Paroles et musique : Michel Berger.
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Grégory L.
S.O.S d’un terrien en détresse
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je ris, pourquoi je pleure
Voici le S.O.S
D'un terrien en détresse
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau
J'voudrais voir le monde à l'envers
Si jamais c'était plus beau
Plus beau vu d'en haut
D'en haut
J'ai toujours confondu la vie
Avec les bandes dessinées
J'ai comme des envies de métamorphose
Je sens quelque chose
Qui m'attire
Qui m'attire
Qui m'attire vers le haut
Au grand loto de l'univers
J'ai pas tiré l'bon numéro
J'suis mal dans ma peau
J'ai pas envie d'être un robot
Métro boulot dodo
Pourquoi je vis, pourquoi je meurs
Pourquoi je crie, pourquoi je pleure
Je crois capter des ondes
Venues d'un autre monde
J'ai jamais eu les pieds sur Terre
J'aim'rais mieux être un oiseau
J'suis mal dans ma peau
J'voudrais voir le monde à l'envers
J'aim'rais mieux être un oiseau
Dodo l'enfant do
Réalisation : Michel Berger et Luc Plamondon
Musique de Michel Berger / Texte de Luc Plamondon
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