tu devrais regarder:
Gonseth
Dans Dialectica, 6, page 124, Gonseth énonce ainsi un principe de dualité, ce qui commande la réalité de la science:
http://www.philagora.net/ph-prepa/dualite/dualite4.php
Heritage de l epistemologie de F. Gonseth, G. Bachelard, A.Koyre et de J.Piaget.
Determinants de la connaissance scientifiques dans l epistemologie francaise.
tu devrais regarder:
Gonseth
Dans Dialectica, 6, page 124, Gonseth énonce ainsi un principe de dualité, ce qui commande la réalité de la science:
http://www.philagora.net/ph-prepa/dualite/dualite4.php
Les principes méthodologiques de Gonseth sont respectes, mais qui est continuateur vues métascientifiques de F. Gonseth?
Si nous considérons la philosophie moderne dans on ensemble, nous pouvons dire, d'une façon générale, que son point de vue ne présente aucune différence véritablement essentielle avec le point de vue scientifique : c'est toujours un point de vue rationnel, ou du moins qui prétend l'être, et toute connaissance qui se tient dans le domaine de la raison, qu'on la qualifie ou non de philosophique, est proprement une connaissance d'ordre scientifique ; si elle vise à être autre chose, elle perd par là toute valeur, même relative, en s'attribuant une portée qu'elle ne saurait légitimement avoir : c'est le cas de ce que nous appellerons la pseudo-métaphysique.
D'autre part, la distinction du domaine philosophique et du domaine scientifique est d'autant moins justifiée que le premier comprend, parmi ses éléments multiples, certaines sciences qui sont tout aussi spéciales et restreintes que les autres, sans aucun caractère qui puisse les en différencier de façon à leur accorder un rang privilégié ; de telles sciences, comme la psychologie ou la sociologie par exemple, ne sont appelées philosophiques que par l'effet d'un usage qui ne se fonde sur aucune raison logique, et la philosophie n'a en somme qu'une unité purement fictive, historique si l'on veut, sans qu'on puisse trop dire pourquoi on n'a pas pris ou conservé l'habitude d'y faire rentrer tout aussi bien d'autres sciences quelconques.
Du reste, des sciences qui ont été regardées comme philosophiques à une certaine époque ne le sont plus aujourd'hui, et il leur a suffi de prendre un plus grand développement pour sortir de cet ensemble mal défini, sans pourtant que leur nature intrinsèque en ait été changée le moins du monde ; dans le fait que certaines y restent encore, il ne faut voir qu'un vestige de l'extension que les Grecs avaient primitivement donnée à la philosophie, et qui comprenait en effet toutes les sciences.
( René Guénon - INTRODUCTION GENERALE A L'ETUDE DES DOCTRINES HINDOUES. Ch. VIII -Extrait)
Lephenix