Bravo pour ce lien: il y a plein d'idées offertes à tous...
Pour la dualité on donnait une stratégie fort intéressante:
"La mise en ouvre de tous les moyens susceptibles de montrer que différents aspects de la démarche scientifique ont été appréhendés, maîtrisés et appropriés constituera la marque de la valeur intrinsèque du travail personnel ajouté.
Le travail fourni doit comporter une production personnelle de l'étudiant (observation et description d'objets naturels, collecte, tri et traitement de données, mise en évidence de phénomènes, expérimentation, exploitation d'un logiciel, modélisation...), réalisée dans le cadre d'une investigation sur
un problème scientifique. Cette production ne peut en aucun cas se limiter à une simple synthèse d'informations collectées, mais devra comporter une "valeur ajoutée" apportée par l'étudiant.
Les étudiants effectuent ces travaux de façon individuelle, ou bien en petit groupe (au maximum cinq étudiants par groupe), pour tout ou partie de la recherche. Si le travail a été réparti entre les membres du groupe, la part de chacun devra être précisée. En tout cas, chaque étudiant doit s'engager
personnellement sur l'intégralité du projet présenté."
Cela devrait rester valable pour des scientifiques....
Cordialement
J'ajoute ce que dit Théophile54:
c'est très simple... Si tu as fait une terminale tu sais d'ores et dejà ce qu'est un TIPE puisque ce n'est ni plus ni moins qu'un TPE avec un "I" en plus (ça fait sans doute plus "études supérieures" avec une lettre en plus). Donc en clair, on te donne un thème (cette année c'est la "dualité"), d'où tu extrais une problématique avec une matière dominante et tu fais un gentil petit exposé que tu es censé présenter à l'oral des concours... donc en première année, rien de bien important mais il faudra le faire quand même histoire de s'entrainer... Sont concernées MPSI, PCSI et peut-être BPCST (mais pour les 2 premiers c'est sûr).
Voilà, si tu as d'autres questions, je suis à ta disposition. Ciao.
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir