...c'est un pense bête !
Qlqun pourrait-il m'aider à trouver 2 sens écartés des mots humain et penser / pensée ? Mercigdegioanni@free.fr
...c'est un pense bête !
l'humain et le penser sont sur un bateau..
l'humain tombe a l'eau..kek qu'il reste ?
Il ne devrait faire que cela, et se bouger.
C'est le principe du passage de l'animalité à l'humanité.
L'humain pense, analyse, dissèque, évalue et grâce à cette fonction ou particularité il peut orienter (à tout le moins il l'espère) penser sa vie, la diriger, l'optimiser, il a ainsi le sentiment de s'apartenir, posséder son avenir..
Si les deux tombent à l'eau, et que l'homme ne sait pas nager... ils se noient de concert..... sourire.....
Mais non...y en a qu'un qui tombe a l'eau...
Mais bon...c'est le bateau qui reste parceque la pensée suit l'humain...hihiihiihi !
Dans le cas inverse , la pensée peut toujours se noyer et l'humain ne la suit pas...
L'humain ne peut penser que s'il "sait" ce que cela signifie....
Signifie,ici,est ou peut être synonyme avec une activité imaginaire dont on peut douter....
A-t-elle un objectif? Ou n'est-ce qu'une illusion,par exemple?
Pourquoi penser si rien,extérieurement,n'y invite?
Poser donc, le problème(possible) de la pensée comme un pouvoir possible ou impossible pose donc un double problème....
D'abord parce que l'équation:s'imaginer= penser est naturellement fausse....Ensuite parce que l'imagination a bien le pouvoir psychologique de faire croire que ce qu'elle permet
est du pensé.....
Enfin l'accessibilité ou non par rapport au pouvoir effectif "de penser" pourrait constituer un autre changement de dimension.....
Ainsi le concept de "pouvoir penser" s'oriente en fonction d'un autre principe que celui de l'action cognitive,
de la réflexion,effective....
Autre,autrement,est la capacité de "croire que l'on pense"(pur produite de l'imagination) et qui n'a besoin d'aucune réflexion......
En somme.....
Si l'on compare votre sujet,c'est-à-dire la question du pouvoir cognitif avec celui des processus cognitifs,parle -t-on de la même chose?......
Comme déjá dit(mais autrement) le pouvoir de penser"effectivement" est à distinguer de la question de son existence
(tout pouvant être cru dans ce domaine sans démonstration possible).....
L'existence "du pensé" restant donc la question de l'existence du pouvoir de penser,réel
ou irréel....
D' autre part la distinction du pensé par rapport à l'imagination
permettrait une réponse immédiate:l'humain ne peut penser
parce que sa pensée est "imaginaire".....
Mais les résultats étants les mêmes,indépendamment des moyens:comment le pouvoir de penser peut-il"donc" être distinct de ses résultats?......
Penser,effectivement,ne devrait pas,forcément,être une activité dépourvue de tout instinct,une sorte de liberté mécanique toute aussi effective dans le concret comme dans l'abstrait.....
Il faudrair,au moins, qu'elle s'oriente en fonction d'un sentiment ou d'un état de santé.
En somme.....
Tout ne mérite pas d'être pensé.....
Seule,ainsi,la connaissance de l'origine de la faculté de penser
mérite le nom de pouvoir,de forme a priori permettant une telle activité,règlée.....
Car la règle est le principe du pouvoir même,indépendamment de sa couleur spécifique.....
il faut donc classer la pensée dans le domaine des pouvoirs
qui ne sont accesssibles que par un contrôle de soi
LIBREMENT VOULU,INDÈPENDAMMENT DE TOUTE CONTRAINTE
EXTERNE.....
Seulement ainsi le jeu cognitif peut-il optenir sa double valeur:
a) comme règle autonome b) comme règle d'orientation par
rapport à ce qui n'est pas à penser....
En somme....
Je m'imagine le pouvoir de penser"humain" comme l'invention de la somme des règles cognitives qui lui donne sa valeur....
Cette valeur,pur fantasme intellectuel,étant,fictivement, ce qui doit remplacer ce que la pensée a perdu avec l'imagination:
toute réalité........
si il existait une règle de la pensée indépendamment de sa saisie des contraintes, des nécessités, des inventions donc (qui répondent aux nécessités), des libertés qui correspondent aux lois toujours trop strictes du réellement vécu, réellement donné (naturel ou humain), il suffirait de les extraire une bonne fois .
or Kant , qui s'y essaie (et y parvient) n'y aboutit dés l'abord et intentionnellement qu'à postuler une humanité ou un sens global, qui tient de l'imagination ,sans doute, sauf qu'il décrit "qui l'on est".
que l'on soit un être irréel, oui, mais ça ne change rien ; parce qu'une vue extérieure (qui déploierait les règles) , qui serait un méta langage, n'est accessible que si l'être entier est déjà compris ; c'est justement cela qui ne marche pas, puisque l'être n'est pas compris et que toute réglementation, essentielle, oui, est non suffisante.
et l'on ne peut attendre que l'on sache tout ou suffisamment, puisque de savoir tout cela ne nous est accessible que si l'on épuise tout notre connaitre, cad tout notre être ; et non la philo n'est pas une observation abstraite des conditions de validité des discours,
mais d'abord le dépassement via la plus grande cohérence possible, de ce qui est au-delà des discours.
Merci de ne pas mettre ton adresse mail, ou je te dénoncerai à la LICRA pour antisémitisme.Qlqun pourrait-il m'aider à trouver 2 sens écartés des mots humain et penser / pensée ? Mercigdegioanni@free.fr
Deux sens écartés, je dirais :
Humain = personne humaine
Penser = Concevoir, réfléchir, méditer
Je pense que là, c'est assez écarté.
A fortiori si l'on se penche sur la conception postmoderniste de la subjectivité transcendante noétique. Derrida, dans son ouvrage "Papa, maman, ****** d'oedipe" en fait une approche presque sensualiste.
Je vais illustrer ça par un exemple. Maine de Biran, lors d'une soirée organisée par l'ambassadeur Michel Duloc de Rougement, fut surpris en train de griffonner quelques mots sur une feuille de papier. La femme de l'ambassadeur, passablement éméchée par quelques coupes de champagne s'approcha à pas de loup derrière le philosophe et entreprit de lire à voix haute, devant les invités les quelques phrases écrites à la va vite. Or cette femme ignorait que Maine, philosophe dépressif était atteint d'un syndrome de Tourette. Quel ne fut pas la consternation générale et l'embarras causé à Pierre Gonthier lorsque sans retenue elle déclama ces quelques vers:
"J'aimerais être une larme
BITE
Pour naître dans tes yeux
SALOPE
Vivre sur tes PAYDAY joues
Et mourir HITLER sur tes lèvres
JUIF"
Pierre Gonthier se suicida deux semaines après, suite à un mauvais rhume.
Je pense que votre esprit profondément influencé par la sarkose qui s'effectue dans l'activité de votre principe de pensée qui réfléchit votre propre pensée, se saisissant en elle même en tant que saisie, ne laisse que très peu percevoir l'entreprise catégoriale qui est celle du Démon lorsque, vous détournant ainsi de la religion, vous entreprenez de discuter d'une ontologie aussi basse que peut l'être une étho poiéto politique telle que celle défendu par le second Wittgenstein!