Point de départ du sujet:
=A ce moment du Philèbe, Socrate a obtenu la présence de deux types de plaisirs, purs, isolés de tout ce qui n'est pas eux. Il va donc pouvoir grâce à cette présence, "voir" si le plaisir est toujours bon ou "parfois" bon.
http://www.philagora.net/philo-bac/lirphilb.php
== - Platon distingue deux sortes de plaisir: le plaisir impur qui fuit toujours, qui est précédé de peine et suivi par la peine, et le plaisir durable parce qu'il est pur.
Sur ce point vous pouvez voir l'Épilogue du Philèbe et ce qui précède immédiatement cet épilogue: "Ces plaisirs qui, dans notre thèse, se définissent comme exempts de peine, que nous dénommons des plaisirs purs de l'âme toute seule, et qui viennent à la suite, les uns des connaissances, les autres des sensations."
== Rappelons qu'Épicure distingue dans La lettre à Ménécée en particulier, le plaisir véritable qui correspond au bonheur et le plaisir en mouvement qu'il faut fuir.
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cette joie est issue de la joie d'aimer Dieu, c'est une origine, une source. Il faut comprendre que le pouvoir jaillit de la joie donnée par la satisfaction de comprendre et d'aimer le moi, le monde et Dieu.
http://www.philagora.net/spinoza/spin-ethique10.php