Il s'agit de l'opération par laquelle on donne à un corps l'apparence de la vie! =l'empaillage.
Cela change tout.
=>Voir certaines obsèques au Québec, où le mort reçoit ses invités.
Bonjour, ou plutôt bonsoir. Un sujet me trotte dans la tête : "la naturalisation des corps". Je ne vois pas du tout comment l'aborder. Mais vraiment pas. Je bloque total. J'ai une seule idée qui est d'entendre par "naturalisation" une sorte d'acculturation du corps par quelque chose qui le transcende (l'Etat par exemple, ou les disciplines au sens foucaldien) et qui le normalise. Dois-je faire porter la problématique sur l'ambiguïté de ce terme "naturalisation", ambiguïté car elle est presque dénaturante pour le corps? Ou dois-je questionner la capacité des corps à être naturalisés, càd à être soumis et normés? Ou encore sur la légitimité d'une telle naturalisation?
Au secours, je m'embrouille, je n'arrive pas à trouver un fil.
Merci d'avance...
Il s'agit de l'opération par laquelle on donne à un corps l'apparence de la vie! =l'empaillage.
Cela change tout.
=>Voir certaines obsèques au Québec, où le mort reçoit ses invités.
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
Je ne pense pas que cela soit à prendre au sens strict du terme de "donner vie à un corps mort". De plus il n'y a pas du tout écrit çà dans le Lalande... Mais merci quand même.
Lisez mieux: donner l'apparence de .....
On peut aussi comprendre: l'adaptation des corps....
Dans tous les cas se posera le problème: nature/culture...
Bon choix
oui, je pense que c'est l'adaptation. merci beaucoup