Candide1 a édicté "quatre principes" qui peuvent être retenus comme points de repères.
Leonxx lui a expérimenté le "test formulaire questionnaire" qui consiste à adapter son graphisme dans le cadre impartit et par extension adapter son graphisme à ce que l'on énonce.

Ces deux intervenants, l'un par son vécu, l'autre une lecture attentive, ont éprouvé le besoin de faire le point.
Je vais donc essayer dans leurs sillages de faire un premier point sur les pièges les plus importants pour ne pas dire dangereux :

Ayons bien en mémoire que le test graphologique de la lettre manuscrite est "totalement libre":
En effet la seule consigne est d'envoyer une lettre manuscrite.

À priori il n'y a pas de quoi à en faire tout un fromage: car quoi de plus banale qu'une lettre manuscrite?

C'est précisément là est le Premier piège :
La banalité, la routine endorment le méfiance!

Deuxième piège :
Dans l'expression "lettre manuscrite de motivation" la plus part des candidats se concentre sur l'aspect "motivation" en ayant grand soin de le choisir des mots adéquats et mettent au second plan l'aspect "lettre manuscrite"

Troisième piège:
L'information sur la graphologie reste, pour le moins qu'on puisse dire, est entretenue dans un flou artistique où fausses recettes et préjugés tenaces brouillent les informations au plus grand plaisir des graphologues lesquels peuvent exercer leur métier sans crainte d'être démystifiés.

Lorsque vous serez convaincus de la réalité de ces piéges alors vous serez plus réceptifs aux moyens de déjouer les pièges.
Ce fut déjà le cas de Leonxx (voir son intervention du 30 mars 2003).
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(à suivre)