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Discussion: une société “marchande” a autant besoin d’ hyperspécialistes que de laissés pr compte

  1. #1
    Kolh Guest

    Par défaut epistemo et medecine

    Une question d’ ordre épistémologique me préoccupe et je lui cherche des éléments de réponse:

    pourquoi et depuis quand la “science” a privilégié l’approche spécialisée, écartant de son champ un peu la multidisciplinarité, franchement la transdisciplinarité ( je fais depuis un an des recherches bibliographiques dans ce sens sur les problemes de santé et les références ne grouillent pas ( j’ai surtout trouvé des articles de sociologues, de kinés, d’un professeur de medecine americain qui pour avoir émis de telles idées a été viré de son poste, des journaux comme Neuropsychoimmunology, publié il y a vingt ans à Seattle replié actuellement à Amsterdam?

    A mon axis de béotien, une société “marchande” a autant besoin d’ hyperspécialistes que de laissés pour compte.

    Jean-luc Kohler

  2. #2
    philator1 Guest

    Arrow technicité

    pour des domaines pointus il faurt des gens avec de gdes connaissanceq, il doivent y passse du tps et occulter par cobnséquent unn peu le reste aurtant dans la formation que dans la pratilk de leur métier. Ce qui ne suivent pas feront autre chose et ne seront pas pour autant des exclus.

    Amicalemennt,
    Philator

  3. #3
    guysmo6 Guest

    Lightbulb une évidence

    Ou alors j ai mal compris ta question, ou alors la réponse a celle ci est évidente: La connaisance humaine de nos jours est trop vaste pourqu un seul humain ne puisse la contenir.. Il est impossible de tout savoir!!!!!!!!!..........simplement

  4. #4
    frieden Guest

    Par défaut

    En tant que sujet et patient potentiel, j'aimerais avoir affaire à des spécialistes capables d'avoir une approche holistique de leurs malades. Je parle ici des praticiens, il semble qu'au niveau de la recherche, l'hyperspécialisation freine davantage la transversalité. Il n'empêche que certaines orientations de recherche permettant d'appliquer des découvertes à d'autres domaines débouchent soit sur le progrès dans la voie de la guérison des maladies, soit sur des expérimentations plus ou moins contrôlées sur le plan éthique. D'une façon générale les implications des recherches sur les neurosciences et le génome paraissent susceptibles de dérives. Les chercheurs doivent rester vigilants.

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