C'est un sujet grave car c'est vrai qu'on peut étouffer tellement on est asséché. Voici ce que j'ai trouvé: faire les choses pour le plaisir de les faire, gratuitement.
En général, nous faisons en visant un but: le but c'est toujours notre intérêt, de près ou de loin, pour attirer les regards ou la reconnaissance, un salaire ou un statut. C'est lassant d'être toujours le centre de son propre nombril. J'ai donc visé l'autre, n'importe qui...et hier j'ai trouvé un dicton de la "sagesse juive" qui disait qu'il n'y avait pas plus malheureux que celui qui ne s'aimait que lui-même. C'était le sens général. Et je confirme car un être ne se renouvelle qu'au contact des autres, donc ce sont les autres qui importent.
Attention, j'ai aussi reconnu qu' on cherche l'amour avec réciprocité, c'est-à-dire qu'on veut aimer à condition d'être aimer en retour. je crois que c'est une erreur. On peut aimer n'importe qui, les enfants le font bien. Donc ne pas aimer autrui est culturel.
Anne