Provient du message de locullus
Il s'ensuit que le premier objet observé est l'observateur, que l'observateur est l'observé.
Devant une succession d’événements, certains d’entre eux qui renvoient à quelques choses qui existent déjà en nous, sont perçus avec plus de vigueur que d’autres événements.
Ainsi certains événements nous sont si indifférents que nous les voyons pas.
D’autre part lorsque nous n’avons aucune interprétation possible face à un événements il ce peut que notre esprit décide de l’ignorer.
Il ce peut que pour préserver l’agencement des données psychologiques il y ai « déni » de l’existence d’un événement.
Quand à l’interprétation du monde qui nous entoure elle est bien sur influencée par l’éducation, la croyance (et tout est croyance), la psychologie et aussi…l’instant de l’histoire que nous traversons (le stade scientifique y compris).
Ainsi le réel est bien souvent notre miroir, en ombre et en lumière.
De toute façon l’interaction entre le réel est nous est tellement étroite qu’il est vraiment difficile de faire une différence entre l’essence de ce qui nous entoure et notre essence.
C’est pourquoi nous avons un petit outil merveilleux qui semble prendre toute la place et qu’on nomme communément le moi…
Il y a également les conditions nécessaires à notre existence qui en nous déterminant une forme exclut de notre univers tout autres réalités.
Ainsi le temps.
Ainsi la durée, si notre espérance de vie était triple assurément notre processus de décision, notre vision de la vie en serait bouleversée.
Dans ces conditions peut-être que faute de pouvoir vraiment s’approché du vrais nous devons nous contenter de ce qui marche le mieux ?