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Discussion: tpe terminale s recherche

  1. #1
    dkstef Guest

    Talking tpe terminale s recherche

    salut

    je recherche un sujet pour mon tpe en terminale s ! les themes sont :: sciences et aliment , espace et mouvement , images , croissance
    je voudrais de preference mettre de la chimie en matiere dominante ou bien de la svt ou physique !

    merci!

  2. #2
    paladinx Guest

    Par défaut Re: tpe terminale s recherche

    Provient du message de dkstef
    salut

    je recherche un sujet pour mon tpe en terminale s ! les themes sont :: sciences et aliment , espace et mouvement , images , croissance
    je voudrais de preference mettre de la chimie en matiere dominante ou bien de la svt ou physique !

    merci!

    salut
    j'ai fait un tpe l'annee derniere sur la croissance d'une population si tu veux je te le donne:


    Le problème du lapin en Australie

    Le lapin est un rongeur commun dans nos pays d’Europe Occidentale. On le chasse ou on l’élève. Mais en Australie il n’était pas initialement implanté. Pourtant, il est aujourd’hui l’un des problèmes majeurs de l’Australie. Vingt-quatre lapins furent introduit en 1859 par un propriétaire foncier de Victoria, Thomas Austin, pour la chasse. Mais leur rythme de reproduction impressionnant leur permit de se développer et d’atteindre le nombre de trois cent millions d’individus de nos jours, devenant ainsi un problème.
    Pourquoi et comment les Australiens veulent-ils exterminer le lapin ?

    I Pourquoi les Australiens veulent-ils exterminer le lapin.
    A) L’évolution du lapin
    Il existe plusieurs modélisations de la croissance d’une espèce dans un espace donné. L’une d’elle est basée sur l’équation de Velhurst, mathématicien hollandais du 19e siècle. Elle a pour but de prévoir la croissance d’une espèce soumise à une pression constante et uniforme de son environnement. Elle s’écrit :
    Xn+1=NXn(1-Xn)
    où Xn+1 est la population d’une année donnée, à valeur comprise entre 0 et 1 : à 0, la population est morte, à 1 elle est à son maximum ;
    Xn est la population de l’année précédente ;
    N est le facteur déterminant l’action de l’environnement, il est compris entre 1 et 4.
    Les termes Xn et (1-Xn) marchent en opposition et traduisent le fait que plus la population est basse, plus elle a la possibilité d’augmenter, tandis que plus elle est élevée, plus elle risque de se réduire par la surpopulation.

    Mais il y a trop de facteurs à prendre en compte pour qu’une telle modélisation se conforme à la réalité, elle ne peut au mieux que l’approcher. Dans le contexte de l’arrivée du lapin en Australie, la population était très basse au départ, et le lapin n’avait aucun prédateur connu. On considèrera donc qu’il a donc eu un développement quasi-illimité.
    On peut alors s’inspirer de la suite de Fibonacci pour construire un modèle plausible.
    La suite de s’exprime ainsi :
    F(x)=F(x-1)+F(x-2)
    où F(x) est la population d’une année donnée,
    F(x-1) est la population de l’année précédente,
    F(x-2) est le nombre de petits mis au monde par les individus capables de procréer, à raison de un petit par individu procréant




    Or on sait que :
    ***61550; Le lapin a deux portées par an et est mature sexuellement à six mois. On peut donc réduire le délai de un an à six mois
    ***61550; Le lapin a des portées de deux à dix-huit lapereaux, soit un à neuf par adulte. On peut donc écrire trois équations différentes :
    - population minimale : F1(x) = F(x-1) + F(x-2)
    - population moyenne : F2(x) = F(x-1) + 4,5 F(x-2)
    - population maximale : F3(x) = F(x-1) + 9 F(x-2)
    ***61550; Les lapins étaient 24 au départ, non matures.
    On peut donc visualiser cette extraordinaire croissance sur une échelle logarithmique :

    ici tu peut realiser une coube a partir des trois equation du dessus


    On peut remarquer qu’au minimum, la population est multipliée par 10 tous les deux ans et demi, et au maximum par 10 tous les ans.

    B) Problèmes posés par le lapin

    Aujourd’hui implanté partout en Australie, le lapin a été déclaré animal nuisible dont les éleveurs doivent exterminer tous les représentants vivants sur leur territoire. En effet, le lapin est à l’origine de nombreuses dégradations de la flore et de la faune australienne.
    Tout d’abord, il a été estimé que dix à seize lapins mangeaient autant d’herbe qu’un mouton. Or il y a aujourd’hui environ trois cent millions de lapins en Australie, les herbages deviennent donc trop petits pour la coexistence des lapins et des moutons. De plus, les lapins broutent l’herbe à ras du sol, à environ deux ou trois millimètres du sol, ce qui empêche une repousse rapide de celle-ci, et entraîne donc une érosion et un appauvrissement des sols, ce que ne provoque pas le mouton. Les lapins endommagent aussi les céréales et les récoltes horticoles ; on estime ainsi à 600 millions de dollars par an les dommages occasionnés par les lapins sur l’agriculture australienne.


    Il est aussi reconnu que le lapin est à l’origine de la mise en voie de disparition de nombreuses espèces animales, soit par la destruction de leur écosystème, soit par la compétition engendrée par la recherche de nourriture, compétition que le lapin, avec sa démographie galopante, ne pouvait que gagner. On peut citer Geopsittacus occidentalis ou perroquet nocturne chez les oiseaux, Macrotis lagotis ou grand Bilby chez les mammifères.
    Le Bilby

    On peut cependant remarquer que les tentatives de destruction du lapin ont permis de développer les industries liées à cette destruction, telles que les industries biochimiques et les entreprises de dératisation.



    II Comment les Australiens veulent-ils exterminer le lapin ?
    A)Les prédateurs naturels du lapin
    1°)Les dingos et les chats sauvages
    Le dingo australien, qui est donc déjà présent en Australie, est l’un des animaux auxquels on pense lorsque l’on se demande quels sont les prédateurs du lapin en Australie. Effectivement le dingo est un animal carnivore donc qui pourrait être un assez bon prédateur dans son environnement naturel ; et de plus, par sa taille qui est de beaucoup supérieure à celle du lapin le dingo pourrait en manger plusieurs par repas et donc permettre ; soit la stabilisation du nombre de lapins soit même sa diminution. Mais à cause de leur régime alimentaire qui est carnivore, les dingos ont mangé les animaux d’élevage comme les moutons et donc les humains ont décidé de faire des chasses pour tuer ces derniers et donc permettre que les animaux d’élevage ne soit plus mangés. Par ce fait il reste beaucoup trop peu de dingos pour permettre que ces derniers tuent assez de lapins et limitent leur croissance.
    On a aussi remarqué que les chats sauvages dans certains cas tuaient les lapins, on ne sait pas exactement si c’est pour protéger leur territoire ou pour se nourrir mais dans tous les cas ce phénomène ne se reproduit pas assez souvent pour réduire le nombre de lapins ni même pour le stabiliser.
    Or il n’y a pas d’autres animaux en Australie qui pourrait être des prédateurs du lapin. Donc nous pouvons dire que ce ne sont pas les animaux sur place qui vont permettre de trouver une solution au problème apporté par les lapins. Les Australiens vont donc essayer autres choses pour résoudre ces problèmes.

    2°)L’introduction du Renard
    Pour palier au fait qu’il n’y ait aucun prédateur naturel aux lapins en Australie les Australiens vont introduire le renard pour permettre leur réduction en nombre. L’introduction du renard en Australie va être quasiment consécutive a l’identification du lapin comme problème important (1888). Le renard va être introduit à partir de 1889. Dans nos pays d’Europe le renard est un prédateur important du lapin donc nous pouvons penser que ce renard sera également un prédateur efficace du lapin en Australie. Mais les Australiens se sont vite rendu compte que l’introduction du renard en Australie va leur poser plus de problèmes que de bienfaits. Effectivement en Australie il existe un nombre important d’espèces animales et végétales que le lapin avait déjà fragilisées et qui vont l’ être aussi par le renard : Bilby et Wombat. Effectivement ces animaux vont être des proies beaucoup plus faciles que le lapin pour le renard. Donc le renard va plutôt se tourner vers celle-ci que vers le lapin. Même si le renard va quand même manger le lapin, la quantité supprimée ne sera pas suffisante pour faire diminuer leur nombre et donc stopper leur évolution.
    L’introduction du lapin en Australie va apporter des aspects négatifs pour la faune australienne car le renard va se tourner vers des espèces animales plus simples à chasser que le lapin et qui étaient déjà fragilisées par le lapin lui-même.

    B)La législation contre le lapin
    En même tant que l’introduction du renard pour résoudre le problème des lapins, des lois ont été mises au point pour tenter de réduire leur nombre en Australie. Et ces lois vont être amplifiées quand les australiens vont s’apercevoir de l’échec de l’introduction du renard.


    1°) La loi du Sol
    Ces lois ont commencé quand le problème des lapins devenait plus gênant soit pour la faune et la flore australienne soit pour l’agriculture et l’élevage, c’est à dire à partir de 1880. La première loi qui tente de palier au problème du lapin est La loi du Sol qui date de 1880. Cette loi permet au propriétaire foncier de tuer tous les lapins qui se trouvent sur leur propriété et donc de faire diminuer leur nombre mais celle-ci est une loi qui ne va pas être très efficace car les propriétaires fonciers ne pourront tuer qu’un nombre infime de lapins se trouvant sur leur propriété. De plus avant cette loi, les personnes ont été ironiquement obligées de nourrir les lapins correctement, pour permettre qu’il y en est un nombre assez important pour la chasse. Donc cette loi va permettre un développement un peu plus lent du lapin car ils vont devoir trouver eux-mêmes leur nourriture.

    2°)La loi du maïs
    Nous pouvons retrouver une seconde loi contre le lapin en 1917 donc durant la première guerre mondiale, effectivement durant cette première guerre mondiale l’Australie exportait du maïs vers l’Europe et les pays en guerre. Mais les lapins posaient des problème car ils s’introduisaient dans les entrepôts de maïs destinés à l’exportation et donc mangeaient les stocks. C’est pour cela que la loi du maïs a été voté en 1917 pour les empêcher de manger les stocks de maïs destinés au pays en guerre. Cette loi comme la précédente autorise la destruction du lapin sur les terres d’un propriétaire foncier si celui ci en voit l’utilité. Après la première guerre mondiale, le rationnement des homme n’étant pas un problème l’acte a été modifié puis il a été abrogé en 1921. Ces deux actes sont importants car ils laissent la possibilité aux propriétaires fonciers eux-mêmes de se débarrasser des lapins sur leur territoire. Donc cela va permettre qu’un certain nombre soit tués.

    3°)Les actes pour empêcher leur progression dans les terres
    Après la réalisation du problème progressif qu’est le lapin en Australie, un grand nombre d’actes législatifs vont être réalisés pour endiguer ce problème. On voit notamment l’acte du colon en 1923 qui a été fait pour empêcher le lapin de s’étendre vers d’autres territoires qui n’ont pas été affectés par ce parasite. Cela a été en outre réalisé par l’installation de clôture dans certaines zones pour empêcher les lapins de s’étendre plus qu’ils ne l’étaient déjà. Pour toujours empêcher la colonisation par le lapin de régions qui n’avaient pas été touchées, dans les années 40 et les années 50, chacun des six états tous infestés par cet animal, ont voté une législation disant qu’il est de la responsabilité du propriétaire foncier de faire les actes nécessaires et appropriés pour supprimer et détruire ces parasites. Le non-respect de cette loi peut entraîner les propriétaires devant les tribunaux et ceux ci peuvent encourir des peines et être désigné comme criminel.

    C)Tentatives communes d’extermination :
    Les lois qui ont été crées en Australie pour éradiquer le lapin ont entraîné différentes sortes de méthodes pour les exterminer.
    Tout d’abord la méthode qui a été la plus utilisée au départ a été la chasse traditionnelle, cette chasse visait à tuer uniquement ceux qui se trouvaient en liberté et de ne pas aller chercher ceux qui se trouvaient dans leur terrier. Régulièrement les grands propriétaires fonciers organisaient des chasses pour en tuer un maximum . Nous avons dans certains cas, trouvé des renseignements où le résultat des chasses s’élevait à quelques milliers de lapin tués : ce qui est énorme. Ce grand nombre confirme le fait de l’importance de leur implantation dans certaines régions, qui sont généralement celles limitrophes de l’endroit où le lapin a été introduit. Mais étant donné que ces chasses ne visaient que les lapins hors de leur terrier ils restaient toujours en grand nombre et ces derniers retrouvaient très rapidement leur nombre de départ. Donc les chasses réalisées ne servaient pas à grand chose.
    C’est pourquoi la fumigation des terriers a été rapidement mise au point pour pouvoir supprimer le maximum de lapins et ainsi permettre la stabilisation de leur nombre, voir leur diminution.
    En même temps pour permettre la diminution en permanence de leur nombre, les propriétaires fonciers ont été obligés de mettre en oeuvre l’empoisonnement des lapins. Pour cela, les propriétaires le faisaient eux-mêmes ou dans certains cas la situation étant tellement problématique que certains d’entre eux faisaient appel à des entreprises spécialisées pour en venir à bout.
    En plus de toutes ces méthodes pour permettre leur destruction, à la suite de certaines lois comme celle de 1923 qui est l’acte du colon, on a vu l’installation de clôtures s’étendant sur des centaines de kilomètres, enfoncées très profondément dans le sol pour éviter qu’ils ne puissent creuser en dessous, afin que le lapin ne puissent pas s’étendre sur d’autres territoires non encore touchés par leurs invasion. Ce qui a été peu efficace car ces animaux ont quand même réussit à coloniser tout le territoire.

    Nous savons que toutes les méthodes utilisées ; que ce soit les méthodes d’extermination (chasses, fumigation ou empoisonnement) , la législation ou l’introduction du renard, n’ont pas permis d’endiguer le problème du lapin. Les australiens vont envisager d’autres méthodes pour l’éradiquer

    D) Les tentatives biologiques
    1°)La myxomatose
    Pour se débarrasser du lapin les autorités australiennes ont introduit le virus de la myxomatose. Ce virus se caractérise par une conjonctivite très importante et des problèmes de peau. La myxomatose a été introduite dans une ferme pour tester son efficacité. Or la myxomatose est une maladie très contagieuse, ce qui a permis que le virus touche très rapidement tous les lapins se trouvant dans tous les différents états d’Australie. Cette myxomatose a été introduite au printemps 1950, après la seconde guerre mondiale où le lapin avait encore fait des ravages dans les stocks de nourritures qui étaient destinés à la guerre. L’efficacité et la rapidité du virus de la myxomatose fait tout de suite ses preuves, effectivement plus de 99.8% des lapins qui ont été infectés sont morts dans les 18 mois. A ce stade, les Australiens se croyaient débarrassés de cette calamité, mais ils n’avaient pas prévu que le lapin présenterait une résistance à la myxomatose. Effectivement les 0.2% de lapin qui ont survécu étaient résistant à la myxomatose. De plus, le gène de la résistance à la myxomatose peut se transmettre au descendant, donc à la progéniture des lapins qui ont survécu et qui seront en partie résistants à ce virus. Après la découverte de la myxomatose les chercheurs ont pensé qu’il faudrait environ quelques décennies pour que le lapin retrouve son nombre d’avant. Donc nous pouvons penser que de nos jours, le lapin a retrouvé le nombre qui était le sien, avant l’introduction du virus en Australie. Mais le virus de la myxomatose continue de faire ravage chez les lapins australiens ce qui permet que leur nombre croît moins rapidement. La myxomatose a donc permit de ralentir grandement le vitesse de croissance de la population du lapin.



    2°)La maladie de Calacivirus du lapin.
    Cette maladie calacivirus du lapin est également connue sous le nom de maladie hémorragique du lapin. C’est une maladie qui cause un taux élevé de mortalité . La période d’incubation de la maladie est courte, de 24 à 48 heures. Pendant cette période il ne se manifeste aucun signe extérieur de maladie. Mais après le temps d’incubation, l’animal devient calme avec une respiration très rapide, une température très élevée et il meurt normalement dans les 6 à 24 heures suivantes. Si l’animal est examiné après sa mort, il ne présente aucun signe particulier outre son hémorragie interne.
    C’est cette maladie que les australiens vont mettre en œuvre pour empêcher le lapin de nuire. Les organismes gouvernementaux ont évalué la possibilité de ce nouvel agent biologique de commande dès 1989. Avec comme probable utilisation en Australie, les chercheurs ont commencé à conduire les recherches à partir de septembre 1991 sur l’île de Wardang en Australie du Sud. Mais en 1995, un lapin qui faisait l’étude de recherche dans ce centre échappe aux clôtures et transmet la maladie aux lapins qui se trouvaient sur l’île. Quelques temps après un de ceux-ci parvint a arriver sur le continent et ainsi transmettre la maladie aux autres lapins. Le taux de mortalité a tout de suite était perçu car c’est une maladie qui est très contagieuse et qui tue très rapidement. Au vue de ces résultats les possesseurs de bétails ont immédiatement réalisé l’ampleur d’une telle maladie et ont activement éparpillé le nouveau virus dans la campagne, dans l’espoir d’infecter tous les lapins sauvages avec lesquels le virus peut rentrer en contact. Ce virus a tuer 90% des lapins qui avait plus de 12 mois, les lapins plus jeune sont très peu touchés par celui-ci.
    Mais les chercheur ne sont pas tout à fait optimistes, car ils pensent qu’un certain nombre de lapin, pourraient être résistants à ce virus comme cela a été le cas pour la myxomatose. De plus pour le moment le virus n’affecte que le lapin mais les chercheurs craignent qu’il mute et affecte ainsi d’autres espèces animales, voir l’homme.

    E)la recherche : immunocontraception du lapin.
    Les australiens ont introduit deux virus très efficace en australien que sont la myxomatose ou la maladie hémorragique du lapin pour lutter contre celui-ci. Mais les chercheurs redoutent de trouver des lapins résistants, effectivement cela c’est déjà produit dans le cas de la myxomatose et ils craignent que cela se produisent dans le cas de la maladie hémorragique du lapin. Pour cela ils misent sur la recherche, sur l’immunocontraception du lapin.
    L’immunocontraception du lapin ne consiste pas à rendre le lapin stérile, cela n’aurait aucun intérêt car cette immunocontraception ne se transmettrait pas à la descendance car ils ne pourraient pas se reproduire. Donc cette immunocontraception ne vise qu’à réduire le nombre de petits par portée, et ainsi réduire la vitesse de croissance su lapin qui est du en partie à une grande fertilité. Pour cela il faudrait créer un gène qui serait introduit dans le lapin. Ce gène produirait une protéine qui irait se fixer autour de la membrane de l’ovule et qui ainsi empêcherait la fécondation par le spermatozoïde, mais ce phénomène ne se reproduirait pas sur toutes les ovules ce qui permettrait que ce gène se transmette à la descendance.
    Donc l’immunocontraception du lapin ne vise pas à rendre stérile le lapin mais à diminuer le nombre de petit par portée et ainsi réduire la vitesse de croissance de celui-ci




    Conclusion :
    Durant cette étude sur le problème que posait le lapin en Australie, nous avons vu qu’il était surtout posé par le manque de contraintes naturelles qui permet au lapin de se reproduire très facilement et donc d’avoir une évolution très rapide. Cela va poser des problèmes sur toute la faune et la flore australienne. C’est pour cela que le gouvernement va décider de lutter contre le lapin et prendre des mesures importantes, telles qu’inoculer des virus et ils sont même en train d’étudier un certaine immunocontraception du lapin. Même si les moyens utilisés pour exterminer le lapin en Australie ont été énormes il n’en reste pas moins que le lapin demeure toujours une dangereuse menace pour l’ordre écologique australien.

  3. #3
    dkstef Guest

    Par défaut

    merci a celui qui m a ecrit , desolé mais maintenant je suis plutot branché sur l evolution humaine mais je cherche des autres matieres que de la svt (aujourd hui j ai juste les diff genetiques et morphologiques et le liens de parente entre les singes et l homme)

    j ai pensé au maths pour la croissance demographique comme celle des lapins mais je sais pas si ca marchera!!!

    ou de la geo pour les flux migratoires!!!!!

    je souhaite vraiment de l aide car je dois avoir ma problematique et mon plan pour vendredi prochain (le20 sept2002) aidez moi s il vous plait!

    stef

  4. #4
    Ramirezsanchez Guest

    Par défaut Recherche TPE:réponse

    salut j'ai noté que tu recherche un tpe, j'ai ai fait un l'année dernière, à première vue il peut paraître drôle mais je peux t'assurer sue c'est passsionnant, malheureseument il touche surtout physiq chimie,math que SVT mais rien de plus facile que d'en rajouter, mon tpe est:
    la bombe atomique:
    tu peux le consulter sur:
    www.ramirezsanchez.fr.st
    et n'oublie pas de remplir le livre d'or stp pour me dire ce que tu en pense, et si tu veux des renseignements, n'hésite pas!
    tpe de 1S, j'ai eu 17/20 et c'est pas du mito!

    tibo, Terminale S

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