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Discussion: Peut-on revendiquer..........consentir à ses devoirs?

  1. #31
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    Par défaut

    " Le travail éloigne de nous trois grands vices:l'ennui, le besoin et le vice." Candide. Voltaire


    Cette citation est extraite de Candide de Voltaire (conte philosophique), je l'ai étudié l'an dernier.
    C'est plus précisément les paroles d'un vieillard rencontré par Candide à la fin du dernier chapitre : en effet, il ne s'occupe pas de la politique et du déroulement du monde extérieur mais uniquement de son jardin et de sa famille. Selon lui le travail (ici le jardinnage) évite l'ennui (car cela accupe tt son tps et demande une attention et un soin particulier), le besoin (car il produit lui même ce dnot il a besoin où se rend éventuellement au marché pour vendre ses fruits et légumes et acheter d'autres produits dont sa famille a besoin) et le vice (puisqu'il n'a rien n'a envié à personne et n'est pas tenté de dérober les biens d'autrui ou de commettre un autre vice, il a tt ce qu'il lui faut pour être heureux : famille, nourriture, occupation, bonheur...). Suite à cette rencontre, Candide en tire une leçon, il va mettre au travail les habitants de sa métairie (lui et ses amis habitent une petite proprièté) et conclue le livre par la phrase : il faut cultiver notre jardin (en plus du jardin physique, on peut penser au jardin culturel, à l'esprit de chacun et y voir une allusion au paradis car c'est aussi un roman de quête amoureuse)
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  2. #32
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    Par défaut Bac 2018 => "Le philosophe ne s'en fait pas."

    1) Un homme à problème?

    .conduire jusqu'à un problème: cela suppose la mise en évidence d'un problème: or un problème ne se voit pas, il naît d'une pensée.
    - Il faut donc l'inventer et le découvrir: calculer et observer ce qui déçoit le calcul.

    Question préalable: qu'est-ce qu'un problème?
    Un problème jaillit lorsque la question met en relation deux ou plusieurs concepts.
    => Cette relation provoque un étonnement.
    - conduire jusqu'à un problème: cela suppose la mise en évidence d'un problème: or un problème ne se voit pas, il naît d'une pensée.
    - Il faut donc l'inventer et le découvrir: calculer et observer ce qui déçoit le calcul.

    1) Un homme occupé? "Il s'en fait pas?


    ==Le philosophe: celui qui distingue l'opinion et la science, qui se tourne vers l'intelligible, qui "chasse", comme un amoureux chasse celle qu'il désire (désir = manque éprouvé) la vérité et la justice: Commencez par lire La République (Platon, fin du livre VI et début du livre VII

    ==> Comment poser une telle question: le philosophe n'est-il pas par son éducation, par son environnement social, par tout ce qu'il a subi (crises, guerres, ...) de son temps?

    ===> En doutant des certitudes de son temps, en s'opposant, en luttant n'est-il pas encore de son temps puisque sa pensée et son action sont fonction de ce qu'il est?
    == "doit-il" ne semble-t-il pas le renvoyer à un devoir? A une obligation, à une liberté?

    ==> Piste possible pour une 3° partie: Le philosophe est-il la mauvaise conscience de son temps?

    Mauvaise conscience = ce qui donne mauvaise conscience qui culpabilise.

    son temps = l'époque où il vit.


    Étonnez-vous! Le philosophe est-il un extra-terrestre pour juger son temps où n'est-il qu'un champignon, produit de son époque?

    -Le philosophe est celui qui réfléchit; qui revient sur: est-il possible de revenir sur ce qui s'écoule? Est-il possible sur ce qui s'est écoulé? Un jugement peut-il être prononcé avant qu'une action soit terminée?
    Conséquence pour le sujet?


    -Pour donner mauvaise conscience suffit-il de cherche le vrai et le juste ou faut-il en quelque manière les atteindre?

    -Que penser de l'aveuglement de certains intellectuels et philosophes devant les totalitarisme? Peuvent-ils donner des leçons? Peut-on vraiment mettre sur le
    même plan démocratie et totalitarisme sous prétexte qu'on les réduire à des formes de cultures?

    Peut-on vivre un temps et prendre suffisamment de distance pour le juger? La pensée est-elle autre chose que des suites de raisonnements hypothético-déductifs: Vous pouvez utiliser Platon le soleil la ligne la caverne

    1)Le philosophe n'est-il pas le fruit de son époque? Peut-il faire autre chose que de justifier cette époque? A quelles conditions?

    2)Quelques philosophes n'ont-ils pas été la mauvaise conscience de leur temps? Pourquoi? Comment? A quels prix?

    Qui? Socrate? Jean-Jacques Rousseau? Nietzsche ? Derrida? Schopenhauer?

    Bonnes lectures
    Joseph
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  3. #33
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    Par défaut Douter est-ce renoncer à la vérité?

    Distinguez bien le doute méthodique comme celui de Descartes qui est la recherche d'un fondement indubitable sur quoi tout rebâtir et qui ne renonce pas à la vérité.


    ===Dans la mesure où le doute est la mise en question d'un jugement, c'est un
    acte qui évoque la possibilité d'une erreur et en même temps affirme
    l'existence de la vérité
    Et, le doute sceptique qui renonce à la vérité.


    Suivrece lien

    http://www.philagora.net/corrige/douter-verite.php
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  4. #34
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    Par défaut Bac blanc 2018:=> Pour éviter le hors sujet....

    Pour éviter le hors sujet, éviter de sombrer, il ne faut pas confondre le présupposé et ce vers quoi la question oriente votre recherche.

    Comment cerner la question posée sans la confondre avec ce qui est admis?
    Considérer que chaque terme du sujet est un panneau indicateur qu'il faut savoir lire.

    Par exemple: si dans la formulation se trouve ne ... que ..., remplacez-le par seulement.

    Voici deux sujets possibles:

    1) L'artiste est-il un technicien?

    2 ) L'artiste n'est-il qu'un technicien?

    Dans le deuxième sujet, ne .. que implique un présupposé que l'on acceptera sans avoir à le discuter:l.
    L'artiste est un technicien: en faire un problème serait s'écarter du sujet.

    En effet le deuxième sujet ne porte pas sur la question de savoir si l'artiste est un technicien. Il porte sur: y a-t-il quelque chose d'autre qui ferait la spécificité de l'artiste par rapport au technicien qu'il est, incontestablement.

    Pour ne pas être hors sujet, il s'agit donc de distinguer dans le sujet que vous choisirez ce qui est présupposé ( = ce qui est admis, ce qui ne fait pas problème, du moins pour celui qui a posé le sujet.) Cela permet de cerner ce qui fait problème, la difficulté: qu'est-ce qui fait qu'un artiste est un artiste?
    = de quoi il s'agit, le sujet.
    On comprend que dans quelqu
    es jours tout peut se jouer dans cette distinction qui permet de saisir sur quoi porte le sujet, quel problème il soulève et pour ne pas s'égarer trop longtemps à établir ce qui est admis et qu'on ne vous demande donc pas d'établir, de ne pas traiter le présupposé.

    Le deuxième sujet porte donc sur:

    Qu'est-ce que l'artiste a de plus que le technicien et qui fait qu'il est un artiste?

    Conséquence: Règle d'or:

    Il faut porter attention à tous les termes du sujet avant de commencer le développement.

    Bon vent pour votre bac blanc
    Joseph
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  5. #35
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    Pour une introduction:

    a) L'opinion
    Elle affirme affirme que le travail a pour conséquence la perte de la liberté. Dire "travail"c'est voir se profiler sur le malheureux prolétaire le dur labeur mal payé, la souffrance ; sans même parler du travail à achaine qui enchaîne le travailleur à sa place,comme ces travaux forcés qui enchaînaient des malheureux à un boulet.
    Dans le lointain mai 68, on entendait ce refrain:""Ne pas perdre sa vie à la gagner."

    b) objection:
    Cependant le travail apparaît aussi comme une activité qui produit quelque chose de profitable en transformant. la nature. extérieure et même notre humanité en nos permettant de maîtriser nos impulsions. On gagnerait notre humanité à travailler.

    c) Le problème: Comment concilier les deux activités : un travail qui déshumanise et un travail qui humanise?

    Conseil: Pour ne pas juxtaposer deux parties (a ) Rien. b) Tout vous pouvez distinguer
    I) Le travail aliéné (inventé par un autre que le travailleur, qui est organisé par un autre, et...qui profite à un autre)
    Le processus idéal du travail.
    II)
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  6. #36
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    I)Les formes sociales du travail.Le travail aliéné . Fait par un autre ,qui profite à une autre.

    Si l'individu dans le travail qui lui est proposé est privé d'un ou plusieurs éléments du processus, il est en même temps privé de la liberté et de l'intelligence que manifestait cet élément. On comprend que des formes "tronquées" du travail peuvent être source de déshumanisation et d'aliénation?

    Origine du travail aliéné: ce n'est plus le désir, la liberté, c'est le besoin, la nécessité, la faim.
    Si l'homme vend sa force de travail, il s'en dépossède et renonce au désir puisqu'il renonce à ce qui pourrait réaliser son désir: il est asservi à la satisfaction des besoins, après le travail, grâce au salaire. En vendant sa force de travail pour un salaire qui lui permettra de se nourrir et de recommencer, l'individu se soumet à ses appétits, à ses besoins, à la nécessité d'une nature: se nourrir.


    La division du travail, la répartition des tâches, puis la décomposition des tâches en éléments simples, singe le mécanisme naturel, le déterminisme, un enchaînement de causes et d'effets avec pour conséquence de confisquer à l'individu le pouvoir d'inventer.
    La première figure du travail aliéné c'est qu'il est inventé par un autre, avec l'exclusion de l'initiative, de l'imagination, de l'usage de la raison.

    La réalisation devient pour lui simple organisation du travail par un autre, deuxième figure du travail aliéné, ce qui marque l'asservissement de la tâche: enchaînement de gestes devant un tapis roulant, monotonie, lutte perpétuelle et épuisante pour faire attention malgré l'habitude et l'ennui: caissières surveillées par la machine qui exige que tant de produits soient "passés" à la minute, marquent bien la disparition de l'initiative, de l'intelligence, comme si l'individu n'était plus qu'un objet naturel qui suivrait des lois.

    Quant au produit, il sera payé selon la quantité de travail faite par l'ouvrier. C'est la troisième figure du travail aliéné, le produit profite à un autre. On lui expliquera, dans le meilleur des cas, qu'il est impossible de lui donner la part de l'inventeur, celle de l'organisateur, celle du propriétaire des moyens de production etc... Reste, après toutes ces soustractions, à lui payer ce geste machinal que n'importe qui pourrait d'ailleurs faire à sa place avec à l'horizon son remplacement par une machine asservie à une intelligence artificielle.
    Autant dire que le travail aliéné, creusant sa propre tombe, disparaîtra.
    Progrès quantitatifs nécessaires, amélioration des conditions de vie de tous, disparition des famines dans le monde du travail, tout cela, dont on ne peut contester la valeur, a eu pour prix l'émiettement du travail car courir d'une tâche à l'autre c'est une grande perte de temps.
    C'est dire que la division ou mieux la séparation du travail intellectuel et du travail manuel, avec pour conséquence l'aliénation du travailleur manuel, a été le prix du progrès.
    Mais qui déplore la disparition d'un tel travail?
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  7. #37
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    II) Par le travail nous gagnons notre humanité, la reconnaissance des autres,. Le gain du travail c'est donc la socialisation.


    Le travail est, d'abord, un processus: un ensemble d'éléments qui s'enchaînent parce qu'ils sont organisés pour la production d'un monde humain, la transformation d'une nature, d'un milieu donné. Suivons ce processus, du désir, de l'invention d'une forme, de la réalisation, de l'apparition d'un produit, et marquons ce qu'il signifie: l'expression de la liberté et de l'intelligence de l'homme.

    L'origine du travail c'est l'individu qui exerce sa liberté comme pouvoir de dire non au milieu donné, de nier la présence, et d'exiger que ce qui est absent devienne présent, de dire oui à ce qui n'est pas encore: ce manque éprouvé c'est le désir dans lequel la liberté de l'individu se pose, par lequel l'individu se transforme en sujet, en projet, en capacité de choisir une fin dans laquelle il se reconnaîtra. Alors que, devant la sécheresse, l'animal fuit vers un lointain point d'eau où l'attendent ses prédateurs, l'homme reste, refuse le milieu et le transforme selon son désir, en amenant l'eau là où il est, par un travail, par exemple un aqueduc.

    L'invention d'une forme. Besoin et désir se conjuguent pour arracher l'homme à sa paresse naturelle: imagination et raison, pouvoir d'évoquer ce qui est absent et pouvoir de relier pour créer, s'accordent dans l'invention d'une forme: c'est avoir une idée comme forme intellectuelle d'un objet: concevoir ce qu'on ne voit pas.
    Par cette représentation mentale d'une forme qu'il a créée, l'homme se distingue de l'abeille qui suit machinalement un programme, un instinct. C'est ainsi que, selon la profonde remarque de Marx, l'architecte le plus mauvais a construit la cellule dans sa tête. En inventant une forme qui est le moyen d'une fin l'individu manifeste sa liberté et son intelligence comme capacité de trouver ou d'inventer les moyens d'une fin.

    La réalisation. c'est l'action de projeter, de réaliser à l'extérieur la forme mentale intérieure. Dans la réalisation l'individu nie à la fois le donné naturel intérieur (les appétits, les distractions...), puisqu'il se maîtrise en faisant attention, et le donné naturel extérieur, cette nature qu'il transforme en monde du désir. Par l'attention, il éprouve et prouve son "pouvoir moral"et par la production des outils il utilise son intelligence, l'outil étant un moyen, un médiateur entre lui et la nature.
    Étant à la source du rythme de son action il échappe à l'immédiat et accède à la conscience réfléchie.

    Le produit. Enfin, l'apparition de la forme, le produit du travail marque la fin du travail, de ce processus par lequel la conscience de soi s'est projetée dans l'élément de la permanence. En effet, dans son produit, l'homme découvre son humanité puisque le produit se révèle universel, tourné vers tous, utilisable par tout être humain: l'homme y reconnaît sa liberté comme pouvoir de marquer la nature du sceau de son humanité: il s'éprouve, rétrospectivement, comme une force éclairée par l'intelligence et l'invention, comme une origine et comme une liberté.

    Concluons deuxième partie en affirmant que le processus du travail libère du donné naturel intérieur ou extérieur en le niant, qu'il est source d'humanité car il crée un monde commun fondement de l'intersubjectivité, des produits utilisables par tous à l'origine d'échanges, de relations: il exige des recherches, des inventions, des expérimentations, une culture produite puis enseignée.
    Mais où trouver cette forme idéale dans une société où le travail est en miettes?


    III) Où trouver cette forme idéale du travail?



    . L

    La negation de la nature (G. Bataille)"Je pose en principe un fait peu contestable: que l'homme est l'animal qui n'accepte pas simplement le donné naturel, qui le nie. Il change ainsi le monde extérieur naturel, il en tire des outils et des objets fabriqués qui composent un monde nouveau, le monde humain. L'homme parallèlement se nie lui-même, il s'éduque, il refuse par exemple de donner à la satisfaction de ses besoins animaux ce cours libre, auquel l'animal n'apporte pas de réserve. Il est nécessaire encore d'accorder que les deux négations que, d'une part, l'homme fait du monde donné et, d'autre part, de sa propre animalité, sont liées. Il ne nous appartient pas de donner une priorité à l'une ou à l'autre, de chercher si l'éducation (qui apparaît sous la forme des interdits religieux) est la conséquence du travail, ou le travail la conséquence d'une mutation morale. Mais en tant qu'il y a homme, il y a d'une part travail et de l'autre négation par interdits de l'animalité de l'homme." Georges Bataille, L'érotisme, 10/18.
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  8. #38
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    Un bon conseil pour ceux qui n'ont rien fait...
    Joseph
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  9. #39
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    "Oh ! Quelle sotte idée à eu Montaigne de se peindre"


    Beau sujet pour réfléchir sur l'essentiel.
    Montaigne, incontournable, dans le temps et dans l'espace de notre humanité.
    Joseph
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  10. #40
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    Par défaut A faire avant le bac blanc

    1). La caverne nous donne la conception de la vérité pour Platon. Vrai / Faux
    2). La caverne traite de l'éducation. Vrai /. Faux
    3). Pour Platon l'éducation est la formation de l'esprit lui parvenant de parvenir au vrai. Vrai / Faux
    4). Revenu dans la caverne le philosophe fait rire. Vrai / Faux
    5). Retourné dans la caverne le philosophe risque d'être tué. Vrai / Faux
    Le mur est en contrebas. Vrai /Faux
    6) Le roi ne doit pas être philosophe Vrai / Faux
    7) Notre monde sensible n'est qu'une apparence. Vrai / Faux
    8) La conversion consiste à se détourner des images pour se tourner vers l'intelligible. Vrai / Faux
    9). Ces prisonniers sont ,avant l'éducation , notre image. Vrai/ Faux
    10) La caverne est notre monde avant l'éducation. Vrai / Faux

    11) La remontée jour représente l'ascension de l'âme vers l'intelligible. Vrai / Faux
    12) Nous commençons par vivre dans l'illusion. Vrai / Faux

    Dans la mesure du possible imprimer ce test.

    Corrigez en relisant le texte .
    A bientôt.
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