On multiplie les instructions officielles, les méthodes, les règles à suivre, on multiplie les dissections des poèmes, on fige les textes en fonction de cadres universels, on multiplie les genres littéraires sans trop savoir où commence l'un et où finit l'autre et puis (enfin!) on lit le texte après l'avoir bien mâchouillé! On va de la peine au plaisir, alors qu'on a tué le plaisir et on brandit un squelette de texte.
L'originalité est bafouée, c'est Rimbaud qu'on assassine .
Mon ami Philinte va vous décoiffer. Il a l 'expérience de classes qui entraient en cours de français avec l"enthousiasme" , de goûter au plaisir esthétique ,cette satisfaction désintéressée dont on ne se lasse jamais, en se disant:" la vraie vie est en fin ici et maintenant".

Une fin qui est toujours un commencement!