Ce sujet , proposé par Véronique, tombe bien
Il est d'actualité.
L'introduction peut partir d'une surprise!
On s'attendrait plutôt à " Raison et politique", ou percept et politique, ou concept et politique.

Cela vous permet d'éloigner les deux concepts.

Reste à les rapprocher: cela ne signifie pas que la politique n'ait pas besoin de l'affect: elle ne peut s'en passer car la raison manque de cette certitude nécessaire à l'action, et au choix. Elle manque aussi de l'énergie nécessaire à l'action.

l'enthousiasme est un sentiment à bien distinguer de l'émotion et de la passion .
Ainsi la politique qui cherche non seulement les suffrages mais aussi l'action continue, ne saurait se passer de la croyance.

La question :
Qu'elle fonction politique peut bien avoir l'enthousiasme, ce sentiment humain? Comment s'insère-t-il dans le processus politique?
Le problème: comment un sentiment peut-il intervenir dans une action politique? Comment un "s'éprouver soi même" peut-il ouvrir aux autres? Comment peut-il ouvrir à la sociabilité?
Comment peut-il être sur le chemin d'un pouvoir et d'une action partagés?
Le sentiment peut-il s'introduire sans brouiller la politique


A suivre