Régis Debray , à qui je présentai Philagora , lors d'une Comédie du livre à Montpellier, m'a encouragé à continuer Philagora. Et cela a conforté notre projet.
Voici l'extrait d'un récent article:
« Et quand on attaque la mère, le latin, je crains pour la fille, le français ». (Marianne)
Nous craignons tous des gestes iconoclastes.
Je lui les laisse la responsabilité de "valeurs de gauche". Au demeurant les clivages politiques ne nous ont pas gênés, à Montpellier, bien au contraire. Merci Mr Talvat, adjoint à la culture.
Joseph Llapasset


Bien entendu je soutiens et Philagora soutient l'action de Régis Debray pour le maintien de l'enseignement du latin au collège.

Pour ce qui est de la disparition des classes bilingues je suis perplexe. Y a-t-il plus d'avantages que d'inconvénients? Ce qui va apparaître compensera-t-il largement ce qui va disparaître?