Bonjour, je dois faire un commentaire sur les paragraphes 47 à 50 de Nouveaux Essais sur l'entendement humain, Livre II de Leibniz. Sachant que c'est la suite de mon cours ce passage s'inscrit dans le chapitre de la liberté. C'est la première fois que j'ai à faire un commentaire aussi difficile et j'ai vraiment du mal à commencer. Voici le texte :
Nous pouvons combattre nos désirs et passions
, c'est à direpoint de départ, thèse de l'auteur: c'est en notre pouvoir de.....suspendreexplicitation : combatre=l'action, soitl'action visant à satisfaire le désir ou la passion: important: le pouvoir porte sur l'action et non sur le désir qui demeure: je ne peux pas ne pas continuer à désirerpar des désirs ou des inclinations contrairespremière possibilité, en désirant aussi autre chose, soit pas diversiondu premier désir que nous combattonsc'est à dire par des occupations d'une autre nature. C'est par ces méthodes et ces artificesen se distrayant, en faisant ce qui nous intéresse, par exemple un sport, etc...que nous devenons comme maitres de nous mêmes, que nous pouvons nous faire penser et faire vouloir avec le tempsen faisant..soit...soit et non directement: il est impossible de faire que je ne désire pas!ce que nous voudrions vouloiren prenant de bonnes habitudes probablementet ce que la raison nous ordonne.ce que nous voulons en fonction d'un projet ou de ce qui est bien
Cependant,c'est toujours par des voies déterminées et jamais sans sujet ou par le principe imaginaire d'une indifférence parfaite ou d'équilibremalgré cela on considère la liberté comme un absolu et non comme le résultat d'une statégie.. comme plus haut: soit...soit...., dans laquelle quelques uns voudraient faire consister l'essence de la libertéOn imagine qu'on peut se mettre au-dessus des désirs et des passions, comme on pouvait se déterminer sans sujetles partisans du libre arbitre: voyez le sens dans un dictionnaireet même contre tout sujet et aller directementsans être mucontre la prévalence des impressions et des penchants (...)dans une stratégie
Cependant le choix, quelque déterminée que la volonté y soit, ne doit pas être appelé nécessaire absolument et à la rigueur ; la prévalence des biens aperçus inclinesans nécessiter, quoique, tout considéré, cette inclination soit déterminante et ne manque jamais son effet.mais ne détermine pas: cela laisse une place pour une liberté limitée, mais pas un libre arbitre
Merci pour votre aide