Ma thèse:

Sur Verlaine je voudrais préciser ma pensée: il veut peindre l'être qui se voile en se dévoilant dans l'inouï (=qu'on n'a jamais entendu ) mélange. La fragilité du monde en quelque sorte comme reflet de sa propre fragilité de poète.

Pour cela il utilise la parole (utilisation oh combien personnelle d'une langue)qu'il force à présenter le vertige de ce qui apparait en disparaissant: la fragilité de ce qui vibre et reflette la fragilité de son moi évanescent comme est évanescent le présent que nous vivons.
Comment le non être peut être.
Il y arrive et cela fait de lui un de nos plus grand poète de la dé-chéance.