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Discussion: Hume - traité de la nature humaine.

  1. #1
    Date d'inscription
    December 2012
    Messages
    1

    Par défaut Hume - traité de la nature humaine.

    J'ai une explication à faire par rapport a cet extrait de texte :

    "Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j'appelle moi
    Hume veut connaître le moi en le pénétrant. Savoir ce qui correspond à une appelation: le terme moi
    ,
    je bute
    il se heurte à un obstacle entre lui et ce qu'il veut connaître!
    toujours sur une perception
    un objet, une chose , un arbre
    ou sur une autre
    un autre ( sensation, sentiment,
    , de chaud ou de froid, de lumière ou d'ombre, d'amour ou de haine, de douleur ou de plaisir. Je ne peux jamais me saisir
    idée principale: je ne peux saisir lr moi sans ce qu'il accompagne
    , moi, en aucun moment sans une perception et je ne peux rien observer
    l'observation précise la connaissance: sans l'observation de ce que cela est le moi, pas de connaissance, pas d'objet à cerner
    que la perception. Quand mes perceptions sont écartées pour un temps,
    si les perceptions sont écartées, le moi disparaît
    , comme par un sommeil tranquilleaussi longtemps je n'ai plus conscience de moi et on peut dire vraimentque je n'existe pas.
    exister c'est être pour quelqun, ici être pour soi
    Si toutes mes perceptions étaient supprimées par la mort et que je ne puisse ni penser, ni sentir, ni voir, ni aimer, ni haïr après la dissolution de mon corps, je serais entièrement annihilé et je ne conçois pas ce qu'il faudrait de plus pour faire de moi un parfait néant ( =le moi n'est plus rien sans la conscience de quelque chose). Si quelqu'un pense, après une réflexion sérieuse et impartiale, qu'il a, de lui-même, une connaissance différente, il me faut l'avouer, je ne peux raisonner plus longtemps avec lui.
    on ne raisonne pas avec celui qui est insensé
    Tout ce que je peux lui accorder, c'est ce qu'il peut être dans le vrai
    c'est une possibilité
    aussi bien que moi et que nous différons essentiellement sur ce point
    c'est ce qui nous sépare
    . Peut être peut-il percevoir quelque chose de simple et de continu qu'il appelle lui :
    à quoi il donne un nom sans le connaître
    et pourtant je suis sûr qu'il n'y a pas en moi de pareil principe.
    c'est la certitude de hume: le moi accompagne les états de conscience et disparaît avec"
    Pourriez-vous m'aider à commencer, je ne vois pas trop ce qu'il faut faire.

  2. #2
    Date d'inscription
    April 2001
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    21 954

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    Bonjour
    Voir ci-dessus
    Est-ce plus clair?
    Joseph
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

  3. #3
    Date d'inscription
    April 2001
    Localisation
    France -
    Messages
    21 954

    Par défaut

    Lucie1: La rédaction du commentaire

    La difficulté est ici de rendre compte de la pensée de l'auteur sans la trahir, sans faire dire au texte plus qu'il ne dit, ou autre chose que ce qu'il dit.

    L'introduction
    - Elle indique le thème du texte (ce dont il parle);
    - Elle formule la question philosophique à laquelle répond le texte;
    - Elle indique la thèse de l'auteur (ou l'idée générale du texte);
    Qu'est-ce que le moi?
    -
    Elle présente succinctement les principaux moments de son argumentation, auxquels pourront correspondre les différentes parties du développement.


    Le développement
    Il n'y a pas lieu de séparer l'étude ordonnée du texte et l'exposé de son intérêt philosophique. Il vaut mieux articuler, tout au long du développement, explication et commentaire, en suivant au plus près le raisonnement de l'auteur.


    La conclusion
    - Elle montre comment le texte a répondu à la question initiale;
    - Elle rappelle le principal intérêt du texte, ce qui fait sa valeur;
    - Elle évoque éventuellement les difficultés que laisse subsister la thèse de l'auteur, ou les critiques que l'on serait fondé à lui adresser.
    Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir

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