Bonjour, bonsoir,
Voila j'ai d'ici peu un explication de texte a rendre, sur un texte de Leibniz, extrait de Nouveaux essais sur l'entendement humain.
Le probléme, c'est qu'en ce début d'année j'ai pas ml de mal en philo, et la je vous avou que ce texte ne m'inspire pas vraiment...

Pour commencer je ne sais pas comment faire l'intro, quoi mettre dedans et il en est de même pour la conclusion.

Je vais vous donner ci dessous le texte. Si jamais quelqu'un pourrait me donner des pistes cela m'aiderait, je ne vous demande en aucun cas de me faire le travail bien sur.
Essayez de m'expliquer les choses de la même façon que le ferait un éléve de Terminale, car mon prof est malin et s'il vois des éléments qui n'ont pas étaient vus en cours ou appartenant a la doctrine de l'auteur, il va avoi des doutes

Le texte :

Je ne voudrais point dire non plus que l'identité personnelle et même le soi ne demeurent point en nous et que je ne suis point ce moi qui ai été dans le berceau, sous pretexte que je ne me souviens plus de rien de tout ce que j'ai fait alors.

Il suffit pour trouver l'identité morale par soi-même
d'abord sans avoir besoin d'autrui)
qu'il y ait une moyenne liaison (terme clé, un lien assuré par le flux des états de conscience)de conscienciosité d'un état voisin ou même un peu (= = pas trop ) éloigné à l'autre, même quand ( lorsque)quelque saut ou intervalle oublié y serait mêlé. Ainsi, si une maladie avait fait une interruption de la continuité de la liaison conscienciosité, en sorte que je ne susse point comment je serais devenu dans l'état présent, quoique je me souviendrais des choses plus éloigné, le témoignage des autres
ici autrui est nécessaire pour que je retrouve le lien
pourrait remplir le vide (ce qui manque ) de ma réminiscence. On me pourrait même punir sur ce témoignage
l'identité morale demeure, la responsabilité aussi si j'ai fais une faute dans l'intervalle oublié
, si je venais de faire quelque mal de propos délibéré, dans l'intervalle que j'eusse oublié un peu aprés cette maladie. Et si
au cas où
je venais à oublier toutes les choses passées, et serais obligé de me laisser enseigner a de nouveau jusqu'a mon nom et jusqu'a lire et écrire, je pourrais toujours apprendre des autres
le recours a autrui est toujours possible
ma vie passée dans mon précédent état, comme j'ai gardé mes droits je n'ai pas perdu mes droits, j'ai aussi toujours mes devoirs de répondre de mes actes, sans qu'il soit nécessaire de me partager en deux personnes, et de me faire hériter de moi-même ( ce n'est pas d'un mort que j'assumerais la faute, ce serait de moi!. Et tout cela suffit pour maintenir ( tout le temps) l'identité morale qui fait la même personne.
Voila, j'espére que vous pourrez m'aider, car trés clairement, je ne saisi pas le texte, la seule piste qu'il m'ais venu et que l'auteur parlerais de l'unité du moi...mais j'en sais vraimnt rien.
Merci et bonne soirrée.