Bien entendu, Phèdre de Platon
et Mallarmè
http://www.philagora.net/mallarme/mallart1.php
Dans un cours de culture générale il me semble que la pensée de Bergson et celle de Merleau Ponty sont incontournables.
=> comprendre un texte clé de M Ponty:
http://www.philagora.net/aide-texte/...-intersubj.php
http://www.philagora.net/aide-texte/...ponty-etre.php
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
Bien entendu, Phèdre de Platon
et Mallarmè
http://www.philagora.net/mallarme/mallart1.php
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir
Coucou
Je lis et je relis ce qui me parle et fait sens
" Si le sensible n'est que le reflet, la copie, mieux vaut le modèle que la copie, l'Idée, absente de tous bouquets visibles en ce monde, parce que située dans un ciel antérieur.
La poésie sera donc divine: l'effort pour s'élever vers le modèle, l'acte de réminiscence qui témoigne d'une vie antérieure et d'une native illumination: elle se détourne du simplement utile pour s'élever au vraiment utile, à l'essentiel. (voir la caverne de PLaton: lien en bas de la page). Il s'agit de séparer "le baiser de feu" de la "cendre" du quotidien; L'usage essentiel de la parole (le Dire qui suggère) de la vulgarité (vulgus = foule) qui exile le charme ou pour mieux dire le chant.
"Au contraire d'une fonction de numéraire facile et représentatif, comme le traite d'abord la foule, le Dire, avant tout rêve et chant, retrouve chez le poète, par nécessité constitutive d'un art consacré aux fictions, sa virtualité". (Extraits de l'AVANT-DIRE, Pléiade pages 857 et 858)
La poésie sera l'art de suggérer la notion pure, l'Idée de la chose, sa forme intellectuelle: l'objet de l'art c'est donc les fictions, ici l'ensemble des Idées." Joseph Llapasset
Sans la parole, on resterait bête
Hélène