Bonsoir,
Cela fait 3h que j'essaye de trouver une problématique, la thèse et les différentes parties de ce texte de Husserl :

« La vérité ou la fausseté, la critique et l'adéquation critique des données évidentes, voilà autant de thèmes banals qui déjà jouent sans cesse dans la vie pré-scientifique. La vie quotidienne, pour ses fins relatives et variables, peut se contenter d'évidences et de vérités relatives
En opposant deus déparches l'auteur cherche à éclairer l'une par l'autre: celle qui se contente et celle qui exige au nom d'une idée, l'idée de vérité.
La science, elle, veut
Elle veut donc l'impossible ce à quoi rien de sensible ne correspond
des vérités valables une fois pour toutes et pour tous; définitives; et, partant, des vérifications renouvelées et ultimes
dernières, accomplies définitivement
. Si, en fait
dans la réalité elle ne les atteint jamais, ce dont elle a conscience
, comme elle-même doit finir par s'en convaincre
établir de manière rationnelle et définitive
, la science ne réussit pas à édifier un système de vérités "absolues"
ce qu'elle pourtant
, si elle doit sans arrêt modifier les valeurs "acquises", elle obéit pourtant à l'idée de vérité absolue
qui sert de principe régulateur qu'elle suit
, de vérité scientifique, et elle tend par là même à un horizon infini
puisqu'elle n'atteint jamais l'absolu, ce qui n'est pas relatif, qui a sa raison d'être en soi dans sa perfection
d'approximations qui convergent
sans jamais la réaliser
toutes vers cette idée. A l'aide de ces approximations, elle croit
elle affirme plus qu'elle ne sait
pouvoir dépasser la connaissance naïve, et aussi se dépasser infiniment elle-même
la science étant théories et expérimentations à l'infini
. Elle croit
s'imagine
le pouvoir aussi par la fin qu'elle se pose
elle marche asymptotiquement vers la vérité, la poursuit sans jamais l'atteindre....
, à savoir l'universalité systématique de la connaissance
reprise de valables pour toutes et pour tous
»

La problématique qui m'est venue à l'esprit est: En quoi la vérité scientifique impose-t-elle son caractère unique, universel et se place comme vérité indispensable ?

Merci d'avance !