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Discussion: Comparer 2 versions d'un texte

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  1. #1
    Date d'inscription
    March 2011
    Messages
    1

    Par défaut Comparer 2 versions d'un texte

    Bonsoir, je dois comparer les 2 versions d'ouverture de la pièce, on ne badine pas avec l'amour et dire en quoi la version définitive en prose est supérieure à la 1ère ébauche en vers. Pour cela je dois faire comme un commentaire, c'est à dire intro, développement et conclusion. Cependant je ne sais pas trop quoi mettre dans mes parties, j'avais pensé à I. La rigidité imposée par la versification et II.Les idées de l'auteur mises en avant dans la version définitive
    Ci-joint les deux versions, n'hésitez pas à me dire si vous avez du mal à lire le document.

    Merci d'avance pour votre aide.
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  2. #2
    Date d'inscription
    January 2008
    Localisation
    France/centre
    Messages
    1 460

    Exclamation

    Bon Jour,
    Nous n'avons pas pu ouvrir les textes que vous nous proposiez de comparer !
    Connaissant bien le théâtre, je vous propose une explication [qui n'est pas QUE mienne "quoique"] :

    - La versification est un Art majeur, car elle se réfère à l'origine musicale, vibrations en adéquations avec les fameux nombres. [système métrique devant être connu et oh combien maîtrisé]...
    Si vous apprenez le solfège, vous constatez qu'il n'est que mathématique, ses symboles sont autres mais cela revient au même que ceux de l'arithmétique.
    La versification implique un travail rigoureux. Il suffit pour s'en convaincre de comprendre l'étymologie du MOT !
    - Le vers libre, quant à lui, compte-tenu de sa destructuration 'volontaire' rend le "sujet" apparement sans limite, plus contemporain, plus adaptable à ce que tous les théâtres nous livrent. Le théâtre c'est l' athanor de toutes les civilisations et des individus : Jeunes, 'on' pense qu'il faut tout raser pour pouvoir par la négation, voire l'OUBLI 'ouffrir une autre expression, une autre forme' une SUBLIME perspective en devenir, ce que nos aînés n'auraient pas perçue.... or quoique nous fassions nous revenons 'avec l'âge'/l'âge aidant... à plus de tempérance et d'utiliations de codes, on comprend, peu à peu, ce à quoi ils servent.

    Je vais tenter de vous donner un exemple simple :
    - Le binaire exprime, le blanc et le noir (les deux faces d'un individu, le positif le négatif, les vices ou les vertus etc etc)...Ici c'est l'expression de l'adolescence sentant pousser ses forces et formes vives.

    Ensuite, son approche de l'univers s'enrichit de nuances. Le bleu peut devenir violet, si on lui ajoute du rouge et si on adjoint ensuite un peu de blanc, il va probablement devenir 'parme' : l'expression de soi, va s'exprimer de manière de + en + ample, 'on' précise mieux le trait..... Le RAP est binaire, il exprime une répression des sens et de l'intellect forts [car l'enfant est un atome sain (sans T 'mais' à un moment T/précis)].... voyez comment avec le temps, l'âge, les thuriféraires d'hier "on ne donnera pas de noms", aiment à occuper l'information, les plateaux, affirmant qu'ils n'ont rien RENIE de.... mais se sont assagis, "ils ne seront convernir" RANGES, sans l'admettre.... La plupart des fomenteurs de révolution comme SJ ancien patron de Libé ; le plus comique encore 'évolutionniste' de Charly Hebdo....! Notre sang adolescent (voyez cette étymologie) fort, vigoureux....and so lorsqu'il se modifie, sur le plan mental (donc chimique) - comprend, tempère ; mais de fil du temps en 'intelligence et analyse' [en devenir] les académismes refont surface. Rien ne se construit, sans ligne, sans rond, ni carré, sans échaffaudages solides...

    Aussi,
    ** le 1er texte relève d'un travail académique - prolongé, précis - (Recherche de reconnaissance, d'appartenance littéraire, -entrer dans le saint des saints).
    ** Le Scd relève d'un besoin de contemporanéïté pour mettre AU jour et non à jour, des phénomènes et réflexions antiques (quoiqu'il en soit)...

    L'approche de ce texte est (me semble-t-il -, [n'étant jamais été Professeur salarié de l'Institution]) :

    ** se délivrer de l'Académisme paraît dans la jeunesse une nécessité pour se sentir libre et exprimer de manière contemporaine ce qui relève du fond des âges.
    ** Celui qui le fait plus tardivement, s'amuse souvent par cette pirouette à confondre les antiques avec les innovateurs.

    Un autre exemple. Les opera (s) expriment l'art le plus abouti du genre de la scène.... [libret 'conte/histoire', musique/sons-plaintes- enchantements ; vices et vertus 'morales finales : Vie = mort, quoiqu'il en soit] c'est un déroulé d'existences et de rencontres plurielles. Voyez comme les "grosses dames d'antan" on permis à tous les SOTS de se moquer de l'Amour..
    - La jazzeux aimaient à descendre l'opéra, or des gros messieurs et dames faisaient swinguer les corps, tandis que les operas eux faisaient appel à la mythologie, au symbolisme [plus intellectuels].

    Tout n'est que mauvaise guerre et ne représente qu'un instant T, de la vie et de celle de l'Homme pensant...

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