Bonjour à tous,
Avant tout, je vous souhaites à tous une excellente année 2011.
Une nouvelle année de commencer, les problèmes apparaissent déjà . En effet, j'ai un commentaire à faire sur un extrait d'Ethique à Nicomaque d'Aristote (visible ci-dessous). Le soucis est que je n'arrives pas trop à comprendre le texte, trouvé la thèse et surtout un plan.
"Les méchants recherchent la société d'autres personnes avec lesquelles ils passeront leurs journées, maisils se divertissentils se fuient eux-mêmesopposition, car seuls avec eux-mêmes ils se ressouviennent d'une foule d'actions qui les accablent et prévoient qu'ils en commettront à l'avenir d'autres semblables, tandis qu'au contraireils fuient la solitude dans laquelle ils se retrouveraient avec leurs remords des mauvaises actions accompliesla présence de compagnons leur permet d'oublier. De plus, n'ayant en eux rien d'aimableopposition, ils n'éprouvent aucun sentiment d'affection pour eux-mêmes. Par suite,car ils méritent la haîne pour le mal qu'ils fontde tels hommes demeurent des étrangers à leurs propres joies et à leurs propres peines, car leur âme est déchirée par les factions: l'une de ses parties, en raison de sa dépravation, souffre quand l'individu s'abstient de certains actes, tandis que l'autre partie s'en réjouit: l'une tire dans un sens et l'autre dans un autreen conséquence, mettant ces malheureux pour ainsi dire en pièces.vers le mal mais aussi vers le bien qu'ils sont incapables de faireEt s'il n'est pas exactement possible qu'ils ressentent dans un même moment du plaisir ou de la peine, du moins leur faut-il peu de temps pour s'affliger d'avoir cédé au plaisir pour souhaiter que ces jouissances ne leur eussent jamais été agréables: car les hommes vicieux sont chargésils sont déchirés, partagésde regrets."lourdements car ils accumulent les mauvaises actions et donc les regrets
Si quelqu'un aurait l'amabilité de m'aider ce serait gentil,
Cordialement
En rouge= articulation logique
Sur un entretien aves Monsieur Besnier , dans la prestigieuse revue, Sciences et Avenir