Bonjour, (cela ne vaut que pour un/une) ; pas davantage
Qu’est-ce qu’une opinion : Peu de chose, puisqu’elle ne se fonde qu’à l’aune d’un angle, d’un état d’esprit, d’une vision fragmentaire, ou d’une amplification de rumeur (s) !
Inverser ce qui ne vaut pas grand’chose, voire rien, n’est-ce pas perdre son temps et celui des autres ?
N'est-ce pas ce que font les media actuels et ce dont ils vivent. Rumeurs/amplification/échos et pchitt… Ça fait attendre, vendre du papier et génère des capitaux et des emplois par contrecoup ‘évidemment’ , la société en manquant cruellement… Qui donc mord la queue de l’autre, s’en nourrissant et tétant au mieux le pus du voisin ?
- "Concevoir les choses, l’avenir différemment" devrait-il se faire jour uniquement sous le joug de la souffrance, des guerres en tous genres ‘physiques, intellectuelles, idéologiques, religieuses ou….’ ? Ne pourrions-nous envisager calmement de mettre la société, son organisation, son administration à plat, et ce sans parti idéologique aucun ? 'Difficile/difficile, n'est-ce pas '!!… Étaler les + et les (-), regarder à l’aune de l’histoire ce qui a marché ou non, ici et/ou ailleurs ? Se mettre autour d’une table sans dire, ça c’est bien, ça c’est mal , mais cela EST et comment allons-nous faire avec, afin que tout soit le mieux possible pour chacun ?
Il est très intéressant me semble-t-il qu’un philosophe d’essence et de naissance « bourgeoise » JP. SARTRE ayant prôné durablement le ‘Communisme’ (alors qu’on en sait à présent la fin et le côté retord) puisse se targuer, voire tacler ses frères humains sur leur manque de culture. De laquelle parle-t-il ? Celles des salons à l’aune desquels il voyait, jugeait, envisageait, prévoyait et suggérait l’histoire, où celle de mineurs de fond, des maçons, de souffleurs, avec lesquels il n’eut même pas pris un verre de cidre et ne partageât que des combats en Sorbonne ?
Il faut certes des porte-parole, des hommes <générique> pour véhiculer des idées, mais celui qui n’a appris que dans les livres n’aura jamais initié la dureté qu’il évoque, il ne demeure que le beau Prince des mots. 'Magnifique livre au demeurant' !
Parler des camps, ce n’est pas avoir survécu en leur sein. Ceux qui furent de cet enfer, ne purent guère, en livrer quelques souvenirs 'dire, exprimer'. Ils durent tellement se faire violence pour mettre eux des "mots" sur les actes. "LES MOTS" de JP. SARTRE s'écrivirent, sont nés dans une chambre d'enfant.. Ça ne rend pas le livre pour autant inintéressant, mais relativise l'oeuvre de son auteur.
Sartre fit tellement d’erreurs d’appréciation qu’il serait bon de tout remettre en perspective et de pouvoir énoncer simplement un libre-arbitre par rapport à son 'monde sociétal', son environnement, - dire les erreurs qu'il a commises, dire ce qu'il n'a pas fait et où il s'est fourvoyé... Il est vrai que le monde de l'enseignement étant "grosso-modo" à gauche... ça n'est pas simple d'entrouvrir une 'contradiction' putative....
Ne pas se méprendre "je suis de gauche", mais la barbe à tous ceux qui ne savent lire.........