Bonjour,
Par quel symbole « universel » représentons-nous la justice : par la balance dont le fléau ‘central’ est sensé équilibrer les deux plateaux. A quoi également se réfère la « règle », sinon à la Loi ?
Si l’on considère le mot pouvoir il faut bien reconnaître qu’il évoque une force, une puissance une détermination, pas forcément légitime. En effet ce dernier fait appel à maints profils. Il peut relever d’une hiérarchie, d’une famille, d’une élection, d’une force liée à une détermination particulière, voire à des moyens économiques pas forcément propres, équitables.
La démocratie c’est un régime politique dans lequel le peuple aura exprimé sa volonté par les urnes. Les citoyens consultés auront manifesté des choix politiques. Cependant ceux-ci afin d’être appliqués seront attribués au clan de la majorité des votes. Cela implique par conséquent que le « peuple », soit par essence divisé et qu’il ne s’exprime pas d’une même voix. Cela créé fatalement des dissensions, plus ou moins vives. Certains votants n’acceptent pas d’avoir perdu dans les urnes, ils vont soit accepter d’attendre de nouvelle élections, soit combattre tout ce qui leur sera proposé, venant de l’autre camp qui est alors l’adversaire.
Le peuple n’étant pas un et unanime se combat inlassablement, front contre front. C’est par conséquent des forces obscures qui souvent ont « raison » (au mauvais sens du terme) par des solutions, pas toujours adéquates pour régler des problèmes.
Bouleversements, guerres civiles, chahuts violents néfastes à la fameuse « démocratie » se font jour. ‘Joli mot’, souvent belle illusion, puisque tout est hiérarchique dans tous les camps et que le peuple en général est assez suiviste suivant ses options. Une pensée, une doctrine, un chef, un programme, des compagnons et la troupe et ça de droite de centre et de gauche.
Le mot peuple demeure une idée, car il représente une masse d’individus vivant sur un même territoire, mais dont la forme et les influences sont plurielles. Certains voudront obtenir des résultats par la dureté et la vigueur, d’autres non-violents feront de la résistance par un front apparemment résigné. Les seconds ne tueront point, tandis que les premiers ne feront aucun distinguo entre les classes. Un aristocrate ou un bourgeois autrefois, un riche à l’heure actuelle se verront trucider comme le non-violent. idem.
Diplomatie et rapprochements devraient être le ciment des peuples, or c’est assez souvent une belle utopie.
Voyez, triez