Heueusement ce propos est classé dans " Propos et échanges, discussions"..
Le titre de votre sujet, est-ce un devoir auquel vous devez répondre, ou une simple diatribe qu’il nous faut lire, sans devoir ou aimer y répondre ?
Du dialogue devrait naître à tout le moins une réflexion, s'il n'est pas IMPOSITION...
- Le fascisme dans son essence est la doctrine que le Sieur Mussolini mit en œuvre, ou plutôt érigea en Italie en système politique, n’ayant pour but que d’affirmer la toute puissance d’un Etat (le sien) – l’exécutif ayant prévalence totale sur le législatif. La Nation alors, autrement dit le sol dans ses frontières, sa stricte périphérie et le sang deviennent l’exaltation d’un peuple moutonnier (pas tous en bloc)..
- Le libéralisme dans son essence et compte-tenu de son étymologie voudrait prôner la liberté, (pas de conscience, c’est là le fond du sujet) mais la liberté de faire n’importe quoi et n’importe comment – tout- pour multiplier l’argent, le profit personnel - individuel, mais collectif/corporatif, car être d'une "famille" rend plus fort. Ici le isme final est propagandisme du « capital » il instrumentalise, sans nommer l’argent qui ne se reprodurait que par lui-même, en usant certes du « vivant » mais en le niant totalement. L’argent (métal ou papier- moyen d’échange ayant remplacé le troc) engendre de l’or, et peu importe le/les moyens pour y parvenir. L’homme (générique) se trouve donc exclu de cet univers et demeure de manière sourde/cachée l’acteur principal !
- Dictature : On sait ce que cela veut dire, je n’y reviens pas.
- L’écologie, deviendrait-elle donc une nouvelle dictature ?
Je suis prête à l’affirmer. Elle institutionnalise la peur par de nouveaux gourous fort respectueux d’ailleurs de l’humain et fait appel à son intelligence et disent-ils à sa réflexion. Ah bon !!! Ici arrivent et viennent se superposer les films de fiction - anticipateurs avec de de merveilleuses images qu'on a déjà et qu'on va plus encore tuer, nier, piétiner en raison de notre obscurantisme. (tels de nouveaux prêtres, l’index dénonciateur disant dans un nouvel Opus« Evangilique » « Regarde ce que tu as fait de ta planète, regarde, toi et gens de peu de bien » etc … aussi de peur en peur on culpabilise le pauvre qui lui déjà n’a aucune ampoule chez lui, faute d’avoir un domicile, un toit, mais les possesseurs de yatches, que font-ils ? Ils achètent les bois les rares, pour faire que leur cabines et salons soient les plus rutilants ; ils payent à prix d'or, après transferts, intermédiaires, trafiquants, ce que ces peuples et ce pays dits exotiques ont en richesse, ils les appauvrissent sans vergogne. (itoo pour les panneaux solaires dans l'Afrique chaude. Qui va acheter à vil prix les terres en dinars ou je ne sais quelle monnaie non côtée, le sol - pour un faire un champs de profits ? - ? ...
Les écolos nouvelle version (sont dans des engins performeurs, voire leur équipements qui son cela grâce à quoi, outre le fric) dénoncent et annoncent, mais vivants aux et des USA ; il viennent jeter l’opprobre sur les manières de faire, de penser : ils ne sont que poil à gratter supplémentaire (riend 'autre, ils naiment qu'à faire parler d'eux).
Pour obtenir une musique à l’unisson, nous devrions (mais c’est impossible et c’est de cela qu’on peut se sentir marri/contrict/impuissant) il faudrait prendre en compte toutes les vibrations (sans parler de l’univers, bien au-delà de gourous : preacher avec noble conscience) géographiques, géologiques, humaines…
Si les géants aujourd’hui du discours écologique tels Y.ARTHUS BERTRAND, N. HULLOT, A.GORE AND C°, aimaient à proposer à faire ce que cet immense Monsieur F. LOPEZ aime à montrer, sans démontrer : « Le vivant des glaces, le vivant caché sous les arbres, le vivant ici et ailleurs savent et sauraient « eux » simplement communiquer les vraies valeurs, le monde irait alors peut-être mieux. Dire, engendre l'espoir (ALLEGRE le fait aussi). C’est pas le/ton fric qui gâchera ce que tu veux imposer aux autres. Je regarde, je dépouille et tente de savoir ce que "le" scientifique individuellement et pas les familles de la caravane imposent, et d’autres tentent de nous dire, sans. Les enseignants, cette corporation, est-elle ELLE aussi capable de se remettre en cause ? Nous ne sommes le fruit que de nos prédécesseurs directs/premiers. Ceux qui peuvent, grâce à je ne sais trop quoi ni comment, aller fouiller l’archéologie, l’anthropomorphisme, la relativité, oseront-ils dire que la « planète n’a pas connu différentes époques : glacières, chaudes, de rétractions, de stagnation, puis d’évolutions climatiques) ? Ne tournent-ils pas la page pour être et se vouloir de LEUR temps ?
Une seule réalité qui n’a jamais été aussi grande c’est la démographie. Comment peut-on produire des emplois (même avec imagination ample, fictionnelle) à tous ces individus (même avec la technologie) ? On multiplie l’humain, on multiplie les sciences, mais comment ajuster les 2 ? Rien ne pourra continuer de se faire, sans eau, sans substance pour manger et se vivre, sans se survivre …
Mezzo voce SVP Tout est dans la mesure et l'enseignement au quotidien (l'éducation est d'un autre domaine)