La nature de l’homme : (il n'est pas précisé, hier/aujourd'hui et demain !

Aussi dans la chaîne du vivant, où, comment se situe-t-il ?
Sa vie, sa reproduction, ses instincts relèvent de l’animal, son frère de contemporanéité et prédécesseur génétique. Ils sont de même « nature » ! Cette dernière ayant à l’origine de la cellule, besoin des 4 éléments primaires, qui eux sont composites... pierre/métaux/végétaux, etc.

Quelle pourrait être leurs différences ? Conscience, compréhension d’ETRE, questions/solutions adaptées, « spiritualité » projection dans un futur espéré, voire touché/initié peut-être « métaphysique comprise donc ». ?
N’est-ce donc pas simplement un animal doté d’analyse et ce, grâce à sa capacité de raisonner ?

L’éthique ou la morale apparemment serait sa seule différence, cette notion d’appréciation, de sous-pesage entre le bon, le mauvais, le vraisemblable ; le fait simplement de pouvoir étudier, une chose, un comportement, son évolution, sa transformation et sa chute (ce que ne peut faire notre frère animal) n’est-ce pas le nœud ou le fruit de sa dissemblance ?

Qu’est-elle en train de devenir cette nature, compte-tenu des transformations technico-technologiques ? Le cerveau humain sera probablement encore longtemps le directeur des nouvelles découvertes. Nous voyons cependant qu’un humain peut naître dans un autre habitacle que celui de son origine, qu’il peut être embelli, modifié, orienté en fonction de choix de « cellules » particulières (avoir les yeux bleus, les cheveux blonds encore vécus, comme un plus de beauté figuration angélique).

La perte de l’Âme, de ce plus (+) à se savoir vivant et mortel, ne va-t-elle pas entraîner une autre nature, qui porterait alors un autre nom que celle d’homme ? Celui-ci tente constamment de repousser la mort le plus loin possible. Est-ce son âme qui le guide, ou cette soif de devenir « Dieu » ou tout être acception que vous aimerez lui donner.

Je ne suis pas certaine que les penseurs d’hier (même ceux, juste avant nous) aient pensé à cette rapidité et bouleversante modification constante, pas plus qu'au moment où l’homme deviendrait cette espèce d’androïde-bionique sans conscience !
La nature de l’homme était hier, aujourd’hui encore, mais déjà présentement et demain (sans nul doute) elle a un pied dans une espèce de néant infernale. Le tuera-t-il ou changera-t-il simplement de nom et de destination ?

La pierre à l'origine, ne savait pas qu'elle contenait une énergie, un souffle qui ferait nâitre d'elle, les métaux, les algues, les plantes, les animaux et les hommes, alors comme nous ne sommes qu'une chaîne perpétuelle en expansion, le crois, sans craindre que la nature de l'homme est appelée à se modifier encore, à moins que la terre n'explose, par trop de démographie.
(Ce n'est pas stupide de le penser : les hommes meurent de faim, ils pullulent, sans qu'on puisse malgré les moyens contraceptifs, vigoureux ou politiques, d'endiguer ce rythme de prolifération, cependant et malgré cela on continue d'inventer la possibilité qu'il se reproduise dans des bocaux)... alors...advienne que pourra.

Ce n'est certes pas réjouissant, mais je crois que ça prolonge la fameuse question "La nature de l'homme"(hier, ici/maintenant, ou en devenir) ?